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DROIT DE REPONSE

medias et publicité politique

Publié le 28/09/2011 à 00:10 par observatoire-medias-tunisiens Tags : news
Dernières news
Publicité politique : la justice donne raison au PDP, à l’UPL et à Nessma TV
  
  • Publicité politique : la justice donne raison au PDP, à l’UPL et à Nessma TV
    27/09/2011 - 6 COMMENTAIRE(S)

    La 16ème chambre du tribunal de première instance de Tunis, statuant en référés, a prononcé, mardi, un jugement portant rejet du recours intenté par 9 avocats et un professeur universitaire contre le parti de l'Union patriotique Libre (UPL), le Parti démocrate progressiste (PDP) et la chaîne "Nessma TV".

    Le tribunal de première instance a expliqué son jugement par l'absence de la qualité pour agir des requérants.

    Un appel sera interjeté contre ce jugement, a déclaré, à l'agence TAP, Me Hadhami Bousarra, avocate de la partie civile.

    La même avocate a révélé que plusieurs de ses collègues ont excipé, dans cette affaire, de la nécessité d'arrêter les spots publicitaires et de respecter la décision émise par l'Instance supérieure indépendante pour les Elections (ISIE,) émise le 3 septembre 2011, relative à la fixation des règles de conduite des médias en période de campagne électorale ainsi que la décision émise par la même instance à la même date et relative à la fixation des règles et procédures de campagne électorale.

    La décision prononcée par l'ISIE au sujet de l'organisation de la publicité politique dans les médias, a-t-elle ajouté, est une décision administrative obligatoire, en vigueur et publiée au journal officiel de la République Tunisienne, ce qui encourt l'obligation de la respecter afin de garantir l'égalité entre les candidats en lice.

    D'autre part, Me Najet Jelassi, avocate du PDP, a indiqué que son client estime que la décision prise par l'ISIE est illégale, précisant que cette affaire est du ressort du tribunal administratif et non du tribunal de première instance et que les requérants n'ont pas la qualité pour agir.

inspecteurs de l’ONTT indignés par la radio

Publié le 23/06/2011 à 00:15 par observatoire-medias-tunisiens
Les inspecteurs de l’ONTT indignés par la radio
22.06.2011
 Suite à une émission diffusée le 15 juin dernier sur les ondes de la station Shems FM, les inspecteurs du tourisme, relevant de l’ONTT, ont rendu public un communiqué dans lequel ils ont fait part de leur indignation face aux propos qui ont été tenus à cette occasion. Au cours d’une émission traitant de la situation touristique du pays, un intervenant par téléphone aurait, en direct, porté des accusations jugées « graves et dangereuses » par la profession. En conséquence, les inspecteurs en appellent à leur direction générale afin qu’elle engage une procédure en justice pour enquêter sur la question, de même qu’elle exige un droit de réponse aux propos tenus par l’intervenant.

inspecteurs de l’ONTT indignés par la radio

Publié le 23/06/2011 à 00:15 par observatoire-medias-tunisiens
Les inspecteurs de l’ONTT indignés par la radio
22.06.2011
 Suite à une émission diffusée le 15 juin dernier sur les ondes de la station Shems FM, les inspecteurs du tourisme, relevant de l’ONTT, ont rendu public un communiqué dans lequel ils ont fait part de leur indignation face aux propos qui ont été tenus à cette occasion. Au cours d’une émission traitant de la situation touristique du pays, un intervenant par téléphone aurait, en direct, porté des accusations jugées « graves et dangereuses » par la profession. En conséquence, les inspecteurs en appellent à leur direction générale afin qu’elle engage une procédure en justice pour enquêter sur la question, de même qu’elle exige un droit de réponse aux propos tenus par l’intervenant.

ennahdha repond à kapitalis

Publié le 10/06/2011 à 23:20 par observatoire-medias-tunisiens Tags : image bonne article cadres
Kapitalis, Ennahdha et l’objectivité journalistique
Vendredi, 10 Juin 2011 13:46
Nous avons reçu de Mohamed Ben Messaoud une réponse à l’article ‘‘Tunisie. Ennahdha a une marge de manœuvre limitée’’ de Jamel Dridi. Nous la publions et y répondons, puisqu’elle met en question la ligne éditoriale de Kapitalis.

Dans l’article ‘‘Tunisie. Ennahdha a une marge de manœuvre limitée’’, j’ai lu le passage suivant: «Ce point fait que les autres partis, notamment ceux portés sur les questions économiques et libérales, devraient pouvoir avoir une place de choix et s’allier avec Ennahdha. Ce serait une bonne chose pour la Tunisie.»
Je suis un peu déçu, car je ne savais pas que Kapitalis était un organe de communication pro-Enahdha. En lisant cet article, je comprends que pour l’auteur, donner le pouvoir au parti Ennahdha est une chose inévitable et que pour construire la Tunisie «démocratique», on ne peut que s’allier à lui. Et cela en se référant uniquement à l’hypothèse suivante: «Les Etat-Unis (les maîtres du monde) sont séduits par un pouvoir islamiste modéré en Tunisie». Cette  hypothèse est absurde et même anti-démocratique.
L’auteur affirme: «Ennahdha, par ses longues années d’exil, s’est nourri de principes et de cadres ‘‘occidentalisés’’». A mon humble avis cela relève de la propagande, tout le monde sait qu’Ennahdha, indépendamment de son discours a priori moderniste, reste fondamentalement conservateur. Et ce ne sont pas les longues années d’exil de son fondateur à Londres qui prouveront le contraire.
Je suis conscient que vous voudrez offrir à l’auteur un espace libre de communication, mais le journalisme ne doit-t-il pas être objectif et son aucun parti-pris?
A bon entendeur.
Mohamed Ben Messaoud
Réponse de la rédaction. Tout en remerciant M. Ben Messaoud pour sa réaction, nous lui signalons que l’équipe de Kapitalis n’a pas de leçon en objectivité journalistique à prendre de qui que ce soit.
M. Messaoud doit savoir que Kapitalis n’a pas de parti-pris, ni pour ni contre tel ou tel parti. En tant que journal, nous essayons de traiter à pied d’égalité tous les partis, quels qu’ils soient, et particulièrement ceux avec lesquels nous ne sommes pas d’accord, à titre individuel.
En ce qui concerne les opinions et les tribunes libres, nous publions tous les points de vue, sans discrimination aucune (et les lecteurs peuvent le vérifier en consultant nos archives), car c’est là notre rôle et c’est ce qu’attendent nos lecteurs. Aussi les appels à la partialité émanant de lecteurs comme M. Ben Messaoud, et qui sont des appels déguisés à la censure – parlez de ceci, ne parlez pas de cela! –, nous confirme-t-ils dans nos choix éditoriaux qui se résument en trois mots: pas de parti-pris.
Cela dit, nous n’avons pas la même définition de l’objectivité que M. Messaoud. N’est pas objectif ce qui est conforme à notre opinion. L’objectivité se trouve dans la somme de toutes les opinions, librement exprimées: celle de Jamel Dridi comme celle de son contradicteur du jour, Mohamed Ben Messaoud.
Ridha Kéfi

droit de reponse-le ministre said aidi

Publié le 04/06/2011 à 23:39 par observatoire-medias-tunisiens Tags : bonjour infos
Posted in:Infos Nationales
Tribune médiatique tient à vous préciser qu’il y a erreur dans l’article publié par l’un des journaux électroniques Tunisiens et que Mr. Saïd Aïdi  n’etait pas gérant de la dite société mais seulement directeur général. Sa démission de cette société...
Tribune médiatique tient à vous préciser qu’il y a erreur dans l’article publié par l’un des journaux électroniques Tunisiens et que Mr. Saïd Aïdi  n’etait pas gérant de la dite société mais seulement directeur général. Sa démission de cette société a été effective à la date de sa nomination en tant que Ministre et qu’aussi bien lui même que ses anciens employeurs sont particulièrement attentif et sensible à n’avoir aucune situation de conflit d’intérêt.
Tel que précisé dans le communiqué , le gérant ayant présenté sa démission est Monsieur Michel Picaud.
Je vous communique ci-dessous la réponse de Mr le Ministre Saïd Aïdi:
Bonjour,
Je vous précise qu’il y a erreur et que je n’etais pas gérant de la dite société mais seulement directeur général. Ma démission de cette société a été effective à la date de ma nomination en tant que Ministre et qu’aussi bien moi même que mes anciens employeurs sommes particulièrement attentif et sensible à n’avoir aucune situation de conflit d’intérêt.
Tel que précisé dans le communiqué , le gérant ayant présenté sa démission est Monsieur Michel Picaud.
Je vous serais reconnaissant de bien prendre compte et de communiquer à vos lecteurs cette précision.
Très cordialement
Saïd Aïdi

réponse à bouhdiba

Publié le 27/05/2011 à 11:15 par observatoire-medias-tunisiens Tags : nature patrimoine
réponse au professeur Bouhdiba
Les précisions pour l’histoire
Par Farès Bey*
Suite à l’interview du Pr Abdelwaheb Bouhdiba, parue au journal La Presse le 14/05/2011, et ayant toujours été très proche de l’Académie Beït Al-Hikma, permettez-moi d’éclairer l’opinion publique en apportant les précisions suivantes que je tiens d’une source fiable.
L’espace qui était à la disposition d’un ancien directeur d’académie lui a été octroyé en tant qu’ancien directeur général de l’Institut national du patrimoine et il a été récupéré par Beït El-Hikma dans un très bon état.
La manifestation la plus importante de cette année qui est la célébration du 9e centenaire de Abou Hamed Al Ghazali a été programmée avec l’accord et les encouragements de l’ancien régime qui ne l’a à aucun moment contestée, bien au contraire, Pr Bouhdiba avait l’approbation absolue.
En tant que président de l’Académie Beït Al-Hikma, Pr Bouhdiba n’a été nullement lésé.?Le Premier ministère lui a accordé une indemnité compensatrice afin qu’il puisse bénéficier du plein salaire de professeur universitaire, ceci en plus des avantages en nature d’un chef d’entreprise, tels que voitures, chauffeur, contingent d’essence, paiement des factures de téléphone, etc
Il est étonnant de lire que des successeurs aient refusé de prendre la direction de Beït Al-Hikma. Cette prestigieuse institution a toujours été convoitée par nombre d’universitaires, mais pour des raisons diverses, ils n’ont pu accéder à ce poste.
Quant à la coordination de Kairouan, capitale islamique culturelle, Pr Bouhdiba a dû décliner cette offre pour des raisons de santé, d’autant plus que ses relations avec le ministre de la Culture de l’époque étaient tendues.
Pour ces mêmes raisons de santé, il s’était abstenu de participer à l’observatoire des élections.
Quant à la liste des académiciens, il est vrai qu’elle comportait certains noms qui n’ont pas plu à la présidence, tels que Mohamed Talbi ou Hichem Jaïet, mais il n’y a jamais eu de la part de Beït Al-Hikma un vrai suivi depuis, mais plutôt des petits rappels très timides.
On ne pourrait dénier les mérites du Pr Abdelwaheb Bouhdiba quant à son apport scientifique et sa contribution à la promotion des institutions qu’il eut à gérer.?Il est toutefois déplorable qu’il ne se soit pas conformé à une entière objectivité dans l’évocation de certains faits.

droit de reponse -les amis des oiseaux

Publié le 21/05/2011 à 11:47 par observatoire-medias-tunisiens Tags : fond cadeau travail amis nature cadre soi éléments texte vie
Droit de réponse l'Association « Les Amis des Oiseaux » aux propos de M. Ali El Hili
Suite à l’interview  «De la défense de la nature à la lutte contre les faux monnayeurs de l’écologie»? publiée sur les colonnes de votre journal le 11/05/2011, et dans laquelle l’ancien président de l’AAO s’est livré à un exercice diffamatoire indigne envers les membres actuels du comité directeur et son personnel, nous nous sentons le devoir d’apporter au public les éclaircissements suivants:
1/ Concernant  l’assemblée générale d’avril  2007 où il n’a pas été réélu, nous sommes atterrés de voir qu’une élection démocratique et transparente a été transformée en «un coup d’état suivant la technique du RCD»,  sachez que l’ancien président de l’AAO a non seulement approuvé la liste des électeurs, mieux encore, il l’a signée. S’il n’a pas été reconduit, la faute n’incombe qu’à lui  et à sa gestion autoritaire des choses et des gens?; en effet, il a toujours considéré les membres du bureau directeur précédent comme ses valets. Il n’a pas l’habitude de les consulter pour les décisions importantes concernant l’association et les a constamment mis devant le fait accompli. Nous sommes indignés de voir l’ancien président de l’AAO surfer sur la vague de la révolution tunisienne, s’autoriser à lancer des accusations injustifiées et laisser entendre  entre les lignes que ceux qui ne l’ont pas réélu sont des RCDistes. En revanche, il s’est, au su et au vu de tout le monde, toujours vanté de connaître le président déchu Ben Ali, ses conseillers et ses ministres et a utilisé tant que faire se pouvait cet argument pour tenter de rester le président à vie de l’AAO (lui aussi?!). Ainsi il a présidé  l’AAO de 1988 à  2007,  au point que les gens en parlant de l’AAO, l’appelaient  «l’association de Ali El Hili» comme on disait «la Tunisie de Ben Ali». Les membres de l’AAO, conscients des priorités de survie de leur association, ont préféré opter pour le rajeunissement du comité directeur en élisant des membres dignes de confiance et dont la compétence et la probité ne pouvaient être dénigrées, et ce, à l’écrasante majorité et en toute liberté. A l’époque, certains ont même parlé de révolution ! D’où sa rancune tenace envers l’association depuis avril 2007…
2/ L’écrasante majorité des membres du comité directeur de l’AAO ont milité dans cette association depuis le début des années quatre-vingt, alors qu’ils étaient de jeunes lycéens. Ce sont eux qui ont fait les travaux de terrain, de prospection et établissaient des rapports ayant beaucoup servi à l’amélioration de la connaissance des oiseaux en Tunisie depuis le départ de Thierry Gaultier en 1991. L’ancien président, qu’on ne voyait que très rarement dans ces expéditions, réceptionnait ces rapports dans son bureau. Il les faisait siens,  les présentant à des personnalités nationales, et s’en  inspirait  dans ses conférences à l’étranger. Il ne s’en est pas tenu qu’à cela. Il a toujours été contre le fait que les auteurs signent de leur nom leur rapport. Longtemps l’éminent professeur  a ainsi monopolisé l’ornithologie en Tunisie au détriment des vrais connaisseurs.
3/ Son conflit avec le trésorier, qui a commencé par une plainte déposée par le trésorier contre lui, est un règlement de comptes personnel qui n’engage nullement l’actuel comité directeur. Le maintien de l’actuel trésorier au sein du bureau directeur n’est pas «un cadeau pour l’éviction du Pr El Hili», mais en l’absence de documents judiciaires nous permettant de l’exclure, seule l’assemblée générale a le pouvoir légal de le faire.
4/Quant à «l’étrangère», l’ancien président de l’AAO  a eu la chance de l’avoir dans ses troupes  car il a beaucoup utilisé ses compétences en temps voulu, pour obtenir des financements internationaux pour les activités de la conservation des oiseaux. Tous reconnaissent le dévouement de la personne en question pour l’association, son sérieux et son énorme contribution au travail de sensibilisation du grand public et elle n’a certainement jamais servi les intérêts étrangers au détriment de ceux de la Tunisie, contrairement à ce que veut faire croire l’ancien président de l’AAO (ce qui est une diffamation grave).
Notons que l’AAO a toujours eu des étrangers pour membres, à l’instar des M. Thierry Gaultier et le père Paul Lauthe,  sans que cela ne pose problème  de conscience à son ancien président. Pourquoi l’étranger lui pose-t-il problème maintenant ? Son époux, (tunisien cette fois) qui a été évoqué en des termes peu amènes dans l’interview, est un expert ornithologique reconnu aussi bien sur le plan national et international. D’ailleurs, s’il voulait bien l’admettre, il reconnaîtrait avoir longtemps utilisé ses travaux pour se mettre en avant de la scène écologique.
5/ L’ancien président de l’AAO n’a à ce jour pas répondu favorablement à la politique de la main tendue du comité directeur actuel, bien qu’il n’ait pas daigné répondre aux multiples demandes de passation de matériel de l’association qu’il garde encore en sa possession.
Enfin, le comité directeur se réserve le droit de le poursuivre en justice pour diffamation, d’autant plus que ce n’est pas la première fois que cela se produit. L’AAO est une association dirigée par un comité directeur jeune, et est reconnue pour sa compétence à l’échelle nationale, régionale et internationale. Elle ne se reconnaît nullement dans «les faux monnayeurs de l’écologie» que vous mentionnez dans le titre de votre interview. Ses activités sur le terrain sont là pour le prouver, et sont consultables sur le site web de l’AAO?: www.aao.org.tn.
Enfin, nous aurions bien aimé que l’auteur de l’interview confronte les dires de l’intéressé avec les propos du comité directeur de l’Association «Les Amis des Oiseaux» avant sa publication par respect de la déontologie du métier de journaliste, et surtout par respect de ce que notre révolution nous a apporté?: dialogue, ouverture d’esprit, respect des autres, ce qu’il a malheureusement omis de faire.
Toujours au service et dans la nécessité de sauver les oiseaux et leurs habitats, nous restons fidèles et solidaires dans et pour notre association.

Le comité directeur de l’Association «Les Amis des Oiseaux»
Ndlr

Un droit de réponse, comme son nom l’indique, est un droit pour autant qu’on s’en tient à apporter une réponse à des propos dont on est la cible, et ce, pour les contester ou montrer l’absence de leur bien-fondé. S’il contient une charge nouvelle, des accusations dont l’énoncé n’était pas nécessaire dans le cadre d’une réponse, alors on se retrouve dans une situation où le «droit de réponse» est une attaque, qui appelle à son tour un «droit de réponse», et ainsi de suite. Mais surtout, c’est un «droit de réponse» qui ne peut plus se prévaloir des prérogatives du genre.
Pour ces raisons, le texte qui précède ne saurait être considéré, à proprement parler, comme un «droit de réponse». Et ce, d’autant plus que, dans l’interview incriminée, le passage où il est question des démêlées avec l’Association des amis des oiseaux correspond à une seule des questions posées. En termes de quantité, cela représente 272 mots sur un total de… 3.221?! Votre «droit de réponse», lui, en compte 1.029. Soit près de quatre fois plus que le texte auquel vous «répondez».
Ce qui ne vous a pas empêché d’invoquer par mail l’hypothèse d’un cas de censure en constatant un retard dans la publication, et cela alors même que nous avions pris soin d’attirer votre attention sur un problème à régler, à savoir le fait que votre texte s’adressait initialement à nous, journaliste intervieweur, alors que son contenu mettait en cause la personne interviewée. Nous nous permettons de vous faire remarquer que ces «pressions» ne nous abusent pas et que ce n’est pas pour ces raisons que nous avons accepté de publier votre «droit de réponse», mais bien parce que nous estimons que, en tout état de cause, chacun a le droit de s’exprimer.
Sur le fond, il ne nous appartient pas de répondre. M. Ali El Hili, l’interviewé, pourra s’en acquitter mieux que nous s’il le souhaite. Bien sûr, nous ne pouvons que faire part de notre étonnement face aux accusations que vous portez contre lui et avouons qu’elles contredisent assez largement ce que nous avons observé de cette personne durant la période de l’ancien régime, s’agissant en particulier de son indépendance par rapport aux figures du pouvoir. D’autre part, on aurait souhaité que, sur la question des conditions dans lesquelles se sont déroulées les dernières élections de l’AAO — point crucial — vous apportiez des éléments de réponse précis et non des contre-accusations et des menaces. Enfin, s’il est vrai que le titre de l’interview parle des «faux monnayeurs de l’écologie», le détail du texte donne amplement à penser que c’est principalement d’autres personnes qui sont visées, et non vous. Que vous ne l’ayez pas compris est en soi un élément de nature à susciter, nous regrettons de le dire, une certaine perplexité?! ?
la presse 21/5/2011

droit de reponse - lotfi laamari

Publié le 12/05/2011 à 15:04 par observatoire-medias-tunisiens Tags : chez art argent
 c
 
 
Droit de réponse A propos de «La bourde de Lotfi Laâmari, les dits et les non dits de Béji Caïd Essebsi et les oublis de nos journalistes» «Suite à la publication de l’article intitulé « La bourde de Lotfi Laamari, les dits et les non dits de Béji Caïd Essebsi et les oublis de nos journalistes » dans notre édition du mardi 10 mai, nous avons reçu la réponse de notre confrère Lotfi Laamari »
  Tout d’abord, je voudrais remercier mon collègue Badreddine Ben Henda pour l’intérêt constant qu’il porte à mes différentes interventions télévisuelles et particulièrement à celle que j’ai formulées en tant que questions posées au Premier ministre du gouvernement provisoire, M. Béji Caïd Essebsi.   Bien que j’ai posé plus d’une question, mon cher collègue n’a focalisé son attention que sur celle où j’ai évoqué les dessous de la visite du Général Rachid Ammar au Qatar quelques jours après sa nomination en tant que Chef d’Etat major des trois armées… Le collègue a considéré cette question sur une possible coopération militaire entre notre pays et le Qatar et derrière elle, les forces de la coalition en vue d’une attaque militaire terrestre à partir de nos frontières contre les forces du Colonel Kadhafi. Cette question est une formulation de ce qui préoccupe une majorité de ceux, Tunisiens comme étrangers, qui suivent de près les développements de la situation chez notre voisin du sud. Mon cher collègue a vu dans ma question «une bourde» monumentale… Avec tout le respect que je dois à sa vision de la situation, je me demande s’il est raisonnable qu’un Général et Chef d’Etat major ne discute avec ses collègues qataris «des questions de coopération économique», comme l’a affirmé le Premier ministre du Gouvernement provisoire… Franchement, je ne sais qui a commis une «bourde»? Est-ce celui qui pose une question raisonnable basée sur des données attenantes au Général Rachid Ammar ou celui qui prend argent comptant les justifications du Premier ministre provisoire? Mon cher collègue croit-il que le Premier ministre qui a mis tout son art pour répondre à côté des questions sous prétexte du devoir de réserve, croit-il qu’il aurait dévoilé toute la vérité induite dans ma question? Est-il crédible que le Chef d’Etat major, le Général Ammar aille au Qatar rien que pour discuter des « questions de coopération économiques » d’autant plus qu’il était accompagné du ministre de la défense Nationale, alors que les ministres de l’Industrie, de l’Economie, du Développement, des Finances et surtout celui de la Planification et de la coopération internationales restent cloitrés à Tunis? Je pose uniquement cette question laissant au lecteur la liberté d’en déduire ce qu’il voudra… Quant à la «Révolution»… je ne crois pas qu’il est de la mission du journaliste d’être «révolutionnaire»… Bien le contraire, il se doit de demeurer journaliste, neutre surtout quand la Révolution est au sommet de son dérapage sentimental comme nous le constatons autour de nous ces derniers jours…

rumeur infondée

Publié le 09/05/2011 à 01:07 par observatoire-medias-tunisiens Tags : roman background
background
: white; mso-outline-level: 2;">Le Quotidien 27 avril 2011 - Rumeur infondée
background
: white;">parLe Quotidien, mercredi 27 avril 2011, 18:37
background
: white;">Rumeur infondée
background
: white;"> 
background
: white;">Notre confrère «L’Expert» a publié dans son édition de lundi 25 avril une information selon laquelle M. Taoufik Ben Brik serait annoncé pour prendre en charge le poste de rédacteur en chef du journal «Le Quotidien», l’un des quatre titres du groupe de Dar Al Anwar. Mme Saïda Amri, P.D.G. de Dar Al Anwar tient à préciser à cet effet qu’il s’agit d’une information erronée et d’une rumeur dénuée de tout fondement.

rectification d'interview

Publié le 09/05/2011 à 00:25 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article
Précisions de Yadh Ben Achour sur l'intitulé de l'entretien qu'il a accordé à "La Presse"Convertir en PDFVersion imprimableSuggérer par mail
Le professeur Yadh Ben Achour, président de la Haute Instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratiqueTUNIS, 8 mai 2011 (TAP) - Le professeur Yadh Ben Achour, président de la Haute Instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique a fait part de son étonnement de l'article publié, dimanche, à la "Une" et à la page 8 du quotidien "la Presse", et intitulé "Report de la date des élections".
Il a indiqué que cet intitulé n'est pas conforme à la teneur de l'entretien accordé au journaliste de ce quotidien.
Le professeur Yadh Ben Achour a, d'autre part, précisé avoir déclaré "qu'il est très probable de reporter la date des élections de la Constituante" et que cette décision est du ressort du Premier ministre.
Il a, par ailleurs, ajouté qu'il a évoqué dans cet entretien les difficultés pratiques et techniques qui entourent le déroulement de l'opération électorale, soulignant que l'instance supérieure indépendante pour les élections n'a pas encore été élue.
Le président de la Haute Instance pour la réalisation des objectifs de la révolution a relevé la contradiction manifeste entre la formulation affirmative de l'intitulé de l'entretien et la teneur de l'article.

manipulation des medias

Publié le 03/05/2011 à 14:40 par observatoire-medias-tunisiens Tags : cadre image chez article création
La manipulation des médias : un rempart à la démocratie

 
    
 
 
 
  
2011-04-25


>Le fait est grave et constitue une des tâches noires du processus de transition démocratique que vit la Tunisie aujourd’hui : Samedi 23 avril 2011, une information relayée par des stations de radios fait le « buzz » sur  Facebook et d’autres sites d’informations : Ahmed Friaa, fondateur du Parti Al Watan, est reçu par le gouverneur de Kebili et provoque l’irritation des citoyens de la région qui se mobilisent devant le siège du gouvernorat et se font réprimer par l’armée. Ahmed Friaa « approuve » et se retrouve soutenu également par le ministère de l’intérieur avec lequel il est encore en contact afin de contrecarrer ces manifestations !?! Des « développements » et des interprétations par-ci et par-là « gonflent » encore l’information « brute » diffusée dans les ondes de certaines radios ! En tant que membre actif du Parti Al Watan, je prends mon téléphone, j’appelle Ahmed Friaa que je retrouve chez lui à Tunis !! Stupéfait, abasourdi, ce dernier m’explique qu’il n’a pas bougé de la journée et ne compte se rendre à Kebili ou autre ville que dans le cadre du programme d’activité du Parti Al Watan ! Quelques temps après, un démenti a été diffusé par une radio de la place, mais le mal est déjà fait et encore une fois, la précipitation, la mauvaise foi et la calomnie ont entravé la crédibilité de nos médias, ce qui peut constituer in fine un obstacle majeur à la fiabilité et au bon déroulement de notre processus démocratique.

Aujourd’hui, il est de plus en plus évident qu’un professionnalisme accru, des règles d’éthique et une certaine intégrité et diligence, sont  nécessaires dans nos organes médiatiques. Le rôle de l’information est plus que primordial dans la diffusion d’une culture démocratique et dans la consécration d’un Etat de droit et de liberté. La calomnie et la diffamation ne mènent absolument à rien et nous empêcheront d’atteindre les objectifs de la révolution.

En tant qu’acteur de la vie politique, nous appelons à la création et la mise en place urgente d’une haute instance de contrôle et de surveillance des organes de presse et des médias, qui puisse garantir une plus grande fiabilité et une transparence dans le fonctionnement et l’exercice des rôles et des missions fondamentales du secteur de l’information en Tunisie. Il y va de l’avenir de notre jeune démocratie qui certainement saura se consolider dans le temps grâce notamment aux aspirations et à la volonté de tous les tunisiens ! 

Dr. Moez  Joudi
Membre actif et Porte-parole des jeunes du Parti Al Watan
leaders .org

droit de réponse-corruption

Publié le 22/04/2011 à 22:08 par observatoire-medias-tunisiens Tags : cadres
Droit de réponse
Suite à la publication par votre journal du 10 février 2011 de l’article intitulé «Le syndrome des sit-in», je tiens à préciser que l’auteur de l’article m’a attribué des propos portant atteinte à des responsables de l’administration accusés de corruption et d’implication dans des circuits d’abus de pouvoir, propos que je n’ai jamais tenus et que je tiens à démentir.
Afef JERTILA

NDLR :
Nous nous excusons auprès de Mme Afef Jertila de l’interprétation par trop expressive des propos qu’elle nous a confiés à chaud lors du sit-in des cadres et agents du ministère du Commerce et du Tourisme
la presse 20/2/2011

réponse-fakhfakh-directeur des archives

Publié le 18/04/2011 à 12:30 par observatoire-medias-tunisiens Tags : femme article soi
droit de réponse
Moncef Fakhfakh
Suite à l’article calomnieux paru dans La  Presse du 31-1-2011 et dirigé contre ma personne, je tiens à préciser les  points suivants :
1 - Ayant répandu des accusations mensongères,  le journaliste a dérogé gravement aux règles déontologiques de la profession.
2 - Contrairement à ses  allégations, c’est l’Association tunisienne des  gestionnaires des archives qui m’avait convié en tant qu’expert à participer à une réunion qui devait se  tenir le 21-1-2011 aux Archives nationales et au cours de laquelle nous devions évoquer la situation alarmante des  archives dans certaines institutions publiques où des documents constituant des preuves contre la corruption ont été détruits, vu qu’aucune réaction  officielle à la destruction criminelle de ces  archives publiques n’a  été enregistrée jusqu’alors.?La demande de réunion a été agréée par le DG, en  conformité avec la convention qu’elle avait signée avec l’Association pour lui attribuer un local permanent dans cette institution. La réunion n’a d’ailleurs pas eu lieu, en raison d’une violente dispute qui a éclaté devant la salle entre des fonctionnaires qui dénonçaient les agissements de la DG et  ceux qui prenaient sa défense.
3 - Il est à signaler que la nomination de l’actuelle directrice générale des  Archives nationales constitue une  grave infraction à l’article 20 du décret n° 389/79 du 21 février 1979 portant statut de l’institution et requérant de la part du candidat au poste de DG une spécialisation de 4 années dans le  domaine archivistique. La rédaction de cet article répondait au souci de préserver l’institution de toutes sortes de dérives et des nominations arbitraires. Titulaire d’une maîtrise en journalisme et n’ayant rien à voir avec les archives, l’actuelle DG a été parachutée par le président déchu qui n’hésitait pas à bafouer les lois du pays, faisant prévaloir le népotisme et le clientélisme. Ayant d’abord exercé  dans le  secrétariat de Leïla Trabelsi Ben  Ali, l’actuelle DG a été propulsée au rang de ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant avant d’atterrir aux Archives nationales après sa destitution.
4 - Premier docteur en Tunisie dans  le  domaine des archives, j’ai été  pendant près d’une dizaine d’années vice-président du Conseil  international des archives et  président de la branche arabe de ce conseil. De  plus, j’ai  eu l’insigne honneur de mettre sur pied dans notre pays, de 1986 à 2006, l’un des meilleurs systèmes d’archives au monde,  ainsi que l’attestent tous les observateurs internationaux. J’ai eu également le privilege d’avoir formé toute une génération d’archivistes   (de 24 en 1992, on est passé à plus de 800 spécialistes en 2006) et je continue à porter très haut le nom de la Tunisie en tant qu’expert international reconnu et sollicité par de nombreux pays (Oman, Yémen, Emirats Arabes…).
5 - Pendant l’exercice de  mes fonctions, je n’ai jamais fait une chose dont j’ai à rougir et je défie quiconque de prouver le contraire. Tout directeur général au Premier ministère que  étais, je n’ai jamais adhéré au RCD malgré  les pressions et les intimidations, ce qui constitue en soi un phénomène très rare. Loin de pratiquer l’«exclusion» ou la «tyrannie», j’ai tenu au contraire à inculquer aux jeunes archivistes la  rigueur professionnelle,  la discipline et le respect des règlements et d’autrui en  ne prenant en compte que le mérite et la compétence.

Qu’en est-il à présent des Archives nationales depuis la nomination de l’actuelle directrice générale ?

L’adhésion de notre pays au Conseil  international des archives est suspendue et notre pays a  perdu son rayonnement international vu que la DG n’a ni la compétence professionnelle requise, ni l’expérience dans le  domaine des archives ni même la légitimité de sa fonction.
Pendant les dernières années, l’activité archivistique de l’institution ainsi  qu’une importante partie de son budget ont été détournées vers des actions de propagande en faveur du président déchu et  du RCD (voir presse nationale) aux dépens des services qu’elle devait rendre aux citoyens et chercheurs.
• La déontologie professionnelle est bafouée au profit du laxisme et du favoritisme.
• Le réseau national archivistique (archives des ministères et des organismes publics) est gravement affecté et totalement négligé.
• Le logiciel du système d’informatisation des archives publiques développé pour le compte de l’Etat vient d’être confié au CNI pour être appliqué vu que les compétences professionnelles ont préféré déserter les Archives nationales.
Ce ne sont là que des exemples parmi d’autres qui mettent en lumière la dégradation d’une institution qui faisait la fierté des Tunisiens.
Pour finir, il faudrait rappeler au prétendu journaliste que «l’éjection» d’un DG des Archives nationales est du ressort du Premier ministre et qu’il ne m’appartient pas «d’installer, illico presto, un proche».

Ndlr : Que peut-on répondre à M.?Fakhfakh et à ses menaces, sinon que nous avons fait notre métier, d’abord en publiant (à la une, d’ailleurs) le communiqué qu’il nous a fait parvenir, puis en faisant de même avec celui que le personnel des Archives nationales nous a présenté, dont nous avons traduit la substance à l’intention de nos lecteurs, ce communiqué étant écrit en arabe.
Que M. Fakhfakh réalise que nous n’avons fait qu’en reprendre l’essentiel, sans trop nous attarder sur les témoignages, accablants pour lui, d’une partie des 53 signataires que nous avons recueillis.

réalités - armée - droit de reponse

Publié le 10/04/2011 à 16:37 par observatoire-medias-tunisiens Tags : travail bleu
Droit de réponse
04/04/2011
 Suite à l’article paru dans le N°1311 du 10 au 16/2/2011 ainsi que les précisions du colonel MAJOR Moussa KHALFI dans le N° 1315 du 10 au 16/03/2011, nous avons reçu de la part de M. Béchir Jarraya, Commandant à la retraite de l’Armée tunisienne le témoignage suivant.
 Les Faits
 J’occupais la fonction de Commandant de régiment dans le Sud Tunisien, le 20/05/1991, j’ai été convoqué pour une séance de travail dans le quartier général de la Brigade à Bizerte, arrivé sur les lieux, le Commandant de la brigade m’a appris que je suis convoqué par la Direction générale de la Sécurité Militaire à Tunis vers laquelle j’ai été escorté dans l’après midi du même jour. Toujours, le 20 mai vers minuit dans les bureaux de la DGSM, le colonel Moussa Khalfi m’a accusé d’emblée d’avoir participé à un complot intégriste et me traita de traitre. Il ne me posa aucune question, pour lui j’ai été coupable point terminé, la présomption d’innocence il n’en a jamais entendu parler. Face à cette attaque soudaine et injuste, je me suis emporté, je me suis levé et le pointant du doigt, je lui ai demandé comment il osait m’accuser d’une chose aussi grave, mais il n’a pas aimé mon geste, peut-être qu’étant mon supérieur il croyait que tout lui était permis. Fait humiliant, le 21/05/1991 matin dans les locaux de la Sécurité Militaire, on me força à enlever mon uniforme et à la place, on me donna un bleu de travail et une «shlaka». Le même jour, la Sécurité Militaire m’a livré à la direction de la sûreté de L’Etat, au ministère de l’Intérieur où j’ai été humilié et torturé pendant trois jours pour reconnaître avoir participé à une réunion fictive le 06/01/1991 à Barrakat Essahel en vue d’un coup d’Etat intégriste. Le 23/06/1991 et après 34 jours de détention, le ministre de l’Intérieur à l’époque Abdellah Kallel nous a réuni avec d’autres officiers supérieurs dans la salle de réunion du Ministère et nous a expliqué que c’était une erreur, qu’on va être libéré et qu’on va bénéficier d’un repos d’un mois après quoi une décision sera prise pour fixer notre sort. Cette attente a duré presque un an, au cours du mois d’avril 1992, j’ai été convoqué aux bureaux de la Sécurité Militaire à Tunis ou on m’a signifié ma mise à la retraite d’office. Les Constatations La question qui se pose est pourquoi il y a eu ce dérapage ? Pourquoi 200 militaires environ dont une centaine d’officiers qui représentaient l’élite de l’Armée tunisienne ont été accusés injustement de participer à un complot imaginaire ? Pourquoi une fois l’erreur constatée il n’ya pas eu réparation ? A mon avis et c’est malheureux, le Commandement militaire a failli à ces obligations pour les raisons suivantes : 1- Les responsables militaires (le ministre de la Défense, le chef d’Etat Major de l’Armée de terre, le directeur de la Sécurité Militaire) n’ont pas été à la hauteur de leurs responsabilités, ils ont accepté de se subordonner au ministère de l’Intérieur alors que les institutions militaires étaient outillées et habilitées à mener les investigations, à interroger et à condamner s’il ya lieu les fautifs. Ils ont livré des militaires aux tortionnaires de la Direction de la Sûreté de l’Etat sans prendre le temps de s’assurer du bien fondé des accusations portées contre eux. Ces responsables militaires ont aussi failli à leurs obligations parce qu’ils n’ont pas cherché à protéger leur personnel, la Sécurité Militaire qui détient des dossiers sécuritaires sur les responsables militaires et qui connait par détails les faits et gestes de chaque officier, surtout ceux qui occupent des fonctions sensibles, aurait pu facilement et en un peu de temps établir l’emploi du temps des officiers accusés le 06/01 /1991, jour supposé de la réunion suspecte de Barrakat Essahel et prouver ainsi leur innocence. Le commandement militaire à cette époque a failli à ses obligations parce que quand il s’est aperçu du dérapage, il ne s’est pas excusé, au contraire il a persisté dans l’erreur en mettant des dizaines d’officiers à la retraite d’office et en invoquant des motifs de licenciements injustes. Il a failli à ses obligations parce qu’il a instauré un climat de suspicion au sein de l’Armée. Enfin il a failli à ses obligations parce que, par lâcheté, il n’a pas su dire non à des ordres injustes.
 Conclusion L’Armée Nationale est une armée républicaine, elle en a fait la preuve maintes fois, et la Révolution du 14 janvier 2011 n’aurait pas eu lieu si le commandement actuel n’a pas dit non quand il a reçu les ordres pour tirer sur le peuple. Malheureusement, le commandement militaire de 1991 n’a pas eu ce courage, il est responsable de cette injustice et doit en répondre
. Béchir Jarraya Commandant à la retraite de l’Armée tunisienne

droit de reponse -tunisie telecom

Publié le 09/04/2011 à 15:07 par observatoire-medias-tunisiens Tags : 2010 création histoire cadre argent éléments cadres revenu
 Droit de réponse
La direction générale de Tunisie Télécom au journal La Presse
Suite à la parution de l’article «Allô, où va mon argent ?» paru à la une du journal La Presse du dimanche 13 février 2011, la direction générale de Tunisie Télécom s’accorde le droit de répondre à ce sujet dans le communiqué suivant, et ce, afin de ne pas induire en erreur le lecteur à qui nous devons toute la vérité. Ainsi, Tunisie Télécom a relevé certains points évoqués auxquels elle apporte quelques éclaircissements. En préambule, il est important de souligner que Tunisie Télécom est une entreprise publique à participation privée, dont la gouvernance est régie par des règles spécifiques inspirées des règles des entreprises publiques mais avec des particularités qui tiennent compte, d’une part, des engagements de l’Etat tunisien vis-à-vis du partenaire stratégique tels que stipulés dans le pacte d’actionnaires et, d’autre part, du fait qu’elle évolue dans un environnement concurrentiel. — Pour ce qui concerne les affirmations sur les résultats de la société, la direction générale de Tunisie Télécom confirme leur inexactitude. Dans le cadre du projet d’introduction en Bourse, un document de référence a été élaboré et validé par les autorités financières décrivant toute l’activité de l’entreprise depuis sa création. Le document, accessible au grand public, fait référence notamment aux résultats financiers et montre clairement que Tunisie Télécom a enregistré durant les 5 dernières années une croissance continue de son chiffre d’affaires. En effet, dans un environnement très compétitif, Tunisie Télécom a réalisé depuis 2006 plus de 20% de croissance du chiffre d’affaires, soit un revenu additionnel de plus de 250MDT. — Les cadres contractuels ont été sélectionnés pour répondre à des objectifs de mise à niveau de Tunisie Télécom qui évolue dans un marché où la concurrence est rude. Ces compétences ont été recrutées au sein d’entreprises nationales et internationales dans le strict respect des règles de gouvernance de la société. Le recrutement de l’ensemble de ces cadres s’est fait selon un processus d’évaluation au sein du comité d’intégration et a été ensuite validé par le Conseil d’administration de l’entreprise qui constitue l’instance suprême de décision après l’assemblée générale. — Les salaires alloués ont fait l’objet d’une étude de benchmark réalisée par un cabinet d’expertise en ressources humaines. La grille retenue reste comparable à celle pratiquée par la concurrence. — Sans rappeler que ce qui compte, c’est l’expérience et les compétences dont peut faire preuve une personne sans forcément faire référence à un diplôme universitaire; il est à mentionner que certaines informations reprenant notamment les fonctions et les qualifications de ces cadres sont fausses. A titre d’exemple, deux directeurs dont les formations sont de niveau «Bac + 7» se sont vu amoindrir leur formation académique qui est passée à un «Bac + 3». — En ce qui concerne les salaires et le bonus du premier semestre 2010 affichés, la direction générale de Tunisie Télécom tient à informer les lecteurs que ces chiffres sont inexacts: les salaires sont pour certains gonflés de 30 à 40% et les bonus ne correspondent pas au montant du bonus semestriel. Par ailleurs, la direction générale rappelle que la publication des salaires des cadres de Tunisie Télécom est contraire à la réglementation en vigueur et notamment la loi sur la protection des informations personnelles. Tunisie Télécom soutient les médias dans leur devoir d’information et réitère l’importance qu’elle accorde au rôle qu’ils jouent dans cette nouvelle ère de notre histoire qui consacre la liberté d’expression comme un des fondamentaux de notre révolution et elle compte sur le professionnalisme et la responsabilité de tous les journaux ainsi que les journalistes pour que chacun fasse son devoir dans la dignité et le respect de la liberté des autres. NDLR : Ça sonne et ça ne répond pas ! Nous aimerions tant partager avec Tunisie Télécom cette règle d’or qui consiste à «ne pas induire en erreur le lecteur à qui nous devons toute la vérité». Mais par souci de vérité précisément, nous nous faisons un devoir de constater que les éléments que notre chère entreprise nationale nous fournit relèvent davantage d’un renvoi d’appel que d’une réponse. A l’esprit comme à la lettre de l’article incriminé. Ensemble donc, agissons de concert pour approfondir la culture de la vérité et de la transparence.

droit de réponse-defense de carthage

Publié le 09/04/2011 à 15:03 par observatoire-medias-tunisiens Tags : homme soi texte cadres exposition signature patrimoine
Droit de réponse
 Au sujet de l’appel pour la défense de Carthage
 Dans le climat d’incertitude ambiant, certaines personnes malintentionnées se sont improvisées justiciers et redresseurs de torts. C’est le cas de ce soi- disant comité provisoire de sauvegarde de Carthage.?Dans les colonnes de La Presse du 25 janvier 2011, on peut lire un appel de ce soi-disant comité provisoire visant à mettre sous séquestre un des chantiers de notre entreprise à Carthage. Cet appel est un tissu d’affabulations et d’allégations mensongères dont ses auteurs auront à répondre devant les juridictions compétentes. En effet, le groupe Ben Kemla n’a bénéficié d’aucun passe-droit lors de l’acquisition du terrain en question dans la mesure où il a été acquis régulièrement et au prix fort auprès d’un promoteur immobilier qui a respecté toute la réglementation en vigueur.?Il y a lieu de préciser que le terrain sur lequel nous avons réalisé un projet immobilier appartenait de tout temps à un particulier et non au domaine public.?En outre, les décrets de déclassement dont il a fait l’objet ont été pris en conformité avec les lois en vigueur et après que des commissions incluant notamment les institutions en charge du patrimoine de Carthage ont donné leur aval. Contrairement à ce qu’avancent les quelques archéologues à la retraite signataires de cet appel, notre lotissement n’est pas édifié sur un haut lieu historique et les décisions de déclassement du terrain ont été prises après des investigations effectuées sur place par des archéologues confirmés. Depuis 1987, des centaines de décrets de déclassement ont été pris pour permettre l’urbanisation de notre pays et répondre aux besoins en logement du citoyen tunisien.?Si on devait donner le moindre crédit à cet appel diffamatoire, il faudrait mettre tout le pays sous séquestre. L’ignorance dont nous taxent les signataires de cet appel pourrait aisément s’appliquer à ces derniers quand ils avancent que les permis de bâtir et les décisions d’approbation de notre lotissement sont nuls et non avenus.?Non seulement toutes les règles d’attribution des permis ont été scrupuleusement observées mais, de surcroît, ce soi-disant comité provisoire de sauvegarde de Carthage n’a aucune qualité pour agir et ni capacité juridique; il s’agit tout au plus d’une réunion d’anciens fonctionnaires aigris qui s’arrogent le droit de s’attaquer aux intérêts d’entreprises honorables qui, depuis des décennies, emploient des centaines de cadres et d’ouvriers. J’ajoute que notre lotissement a été entièrement vendu à des centaines de citoyens tunisiens qui ne se laisseront pas faire par un comité illégal et illégitime dont les connaissances juridiques et les allégations frisent le ridicule. (Ndlr) - Respectant les principes de la liberté d’expression et du code déontologique de la presse, nous avons tenu à publier ce droit de réponse malgré le flou qui l’entoure. De prime abord, nous relevons l’absence d’une quelconque signature à la fin de ce texte. Anonymat qui réduit juridiquement sa crédibilité. Si ce droit de réponse défend les intérêts du groupe Ben Kemla, qui dirige la société immobilière Férid, principal intervenant du projet «Résidences de Carthage», il nous a été adressé par la voie d’un huissier notaire représentant Maître Mahbouli. Notre propos est loin de défendre un parti contre un autre. Mais est-il besoin d’intenter un procès contre le comité provisoire de la sauvegarde de Carthage, qui, s’il accuse quelqu'un c’est bien l’ex chef d’Etat tunisien, coupable, aux yeux du comité, d’avoir trahi la confiance de son peuple en transformant un espace archéologique en «chasse gardée pour sa sécurité et ses opérations spéculatives personnelles» (texte du comité) ? L’appel lancé par d’éminents chercheurs, connus pour leur intégrité scientifique et leur passion pour Carthage dont Abdelmajid Ennabli, Leïla Sebai et Kheireddine Annabi ne nous a semblé à aucun moment diffamatoire. Par contre, taxer des archéologues encore engagés dans l’action de mise en valeur de notre patrimoine (nous devons à Leïla Sebai la magnifique exposition intitulée «Le jeune homme de Byrsa»qui se déroule actuellement au musée de Carthage) comme «d’anciens fonctionnaires aigris» n’est pas loin, à notre avis, de l’insulte. Nous avons confiance dans la nouvelle justice de la Tunisie libérée d’un régime corrompu. Elle saura faire toute la lumière sur le grand dossier du patrimoine qui trouble ces temps-ci sensiblement les Tunisiens.
la  presse de tunisie

nasra mis en garde à vue

Publié le 07/04/2011 à 14:40 par observatoire-medias-tunisiens Tags : image nuit
Tunisie. Pourquoi le patron d’Hannibal TV a-t-il été mis en garde à vue?
Mercredi, 26 Janvier 2011 20:42

L’affaire de Larbi Nasra, fondateur d’Hannibal TV, a été évoquée par le ministre de la Justice, Lazhar Karoui Chebbi, au cours de sa conférence de presse de ce matin.

Pourquoi Larbi Nasra et son fils Mehdi Nasra ont-ils été arrêtés et qui a donné l’ordre de les arrêter?
Selon le ministre de la Justice, les agents de la police judiciaire ont eu des informations au sujet des Nasra père et fils. Le procureur de la république a été informé et procédé à la convocation du fondateur de la chaîne et de son fils et à leur placement en garde à vue pendant toute une nuit, après leur avoir adressé l’accusation de propagation de fausses nouvelles. «Il s’est avéré par la suite que ces rumeurs et calomnies sont dénuées de tout fondement, ce qui a dicté leur libération», a expliqué M. Chebbi.
Beaucoup de rumeurs ont circulé à ce propos, notamment un improbable échange téléphonique entre Larbi Nasra et le président déchu ou son épouse après le 14 janvier. L’alliance matrimoniale entre les Nasra et les Trabelsi a aussi alimenté des soupçons sur une improbable implication des premiers dans un complot visant à semer le désordre et à préparer ainsi le terrain à un retour du président déchu et de son clan. Trop gros…

ghariani,rcd- droit de reponse

Publié le 06/04/2011 à 15:30 par observatoire-medias-tunisiens
Droit de réponse de M. Ghariani, ex-Secrétaire général du RCDNews, Politique | Nina | 6 avril, 2011 à 12:16 -------------------------------------------------------------------------------- 9 PartagerTunisieNumerique a reçu un droit de réponse de M. Ghariani suite à la publication de l’article : http://www.tunisienumerique.com/2011/04/ali-seriati-ancien-chef-de-la-garde-presidentielle-raconte-la-chute-du-regime-ben-ali/ Nous nous devions de le transmettre intégralement à nos lecteurs afin que tous les avis puissent être entendus. « Copie de la lettre de réponse à la publication de l’article du 3 avril 2011. Merci pour l’attention que vous voudrez bien lui donner suite à la publication de votre article intitulé La chute du régime Ben Ali raconté par Ali Seriati, le chef de la garde présidentielle du 3 avril 2011. Je voudrai par la présente donner plus de précisions en ce qui concerne la citation de mon nom dans cet article afin d’éclairer vos lecteurs sur des faits réels que nous avons vécu la journée du 14 janvier 2011. En effet, le mercredi 12 janvier le bureau du RCD a pris la décision d’organiser une manifestation pacifique pour le vendredi 14 janvier 2011, pour cela nous avons pris contact avec nos militants du grand Tunis pour son organisation. Le vendredi 14 nous étions informé que des manifestants commençaient à s’amasser devant le siège du ministère de l’intérieur ce qui m’a poussé à revoir l’utilité de la tenue de notre manifestation. Au début de la matinée, j’ai pris contact directement avec le président du RCD pour lui faire part de cette nouvelle donne et de mon inquiétude de tenir cette manifestation, ce dernier n’a pas répondu à mon appel ce qui m’a poussé de prendre la décision de l’annulation de la manifestation tout en assumant mes responsabilités politiques dans l’unique but d’éviter toutes confusions inutiles entre les différents manifestants. Après cette décision, j’ai informé les Secrétaires Généraux du grand Tunis ainsi que M. Ali Seriati pour que ce dernier informe le président du RCD de l’annulation, en plus du fait que j’ai gardé les quelques centaines de militants qui n’ont pas été informés de l’annulation au sein du siège du RCD. Pour votre gouverne, le siège du RCD était bien gardé par la police et ceci afin d’éviter toutes mauvaises interprétations faisant allusion à la présence de milice. D’ailleurs, je vous confirme qu’il n’y a jamais eu ce genre d’organisations au sein du RCD ni avant ni après le14, en outre et au moment de la dissolution du RCD, la cour a confirmé cette réalité de la non présence de milice au sein du RCD. Les personnes présentes ce jour du 14 janvier 2011 au sein du siège du RCD étaient des militants de tous âges venus essentiellement pour cette manifestation pacifique que j’ai moi-même annulée. Signé : Mohamed Ghariani Ancien secrétaire général du Rassemblement Constitutionnel Démocratique Tunisie. »

l'Espérance- droit de réponse

Publié le 05/04/2011 à 23:10 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article texte sport
Un mesquin journaliste qui cherche à se faire remarquer par son esprit de haine et d'envie ; voire d'incivisme et d'impolitesse, il s'agit de ce fameux Hassen Mzoughi qui a récemment écrit (n'importe comment, sur le plan construction, style, que réflexion absurde  et écervelé pour le moins qu'on puisse dire) et ce le 08/03/2011 dans le journal La Presse « tunisienne » ; sous le titre : pour la fin d'un système. Ce type a cherché de se démarquer en apportant une provocation gratuite vers l''Espérance, et, vers tout ce qui touche à la ville de Tunis, et ce en mettant en évidence son régionalisme « déclaré » par le biais du secteur du sport ; secteur qui ne peut jamais lui être propre, car ce type , et ce genre de types est connu, est impropre.
Pour lui répondre du tic au tac, sans perdre du temps avec ce genre d'énergumène et de lèche-bottes, de lui dire qu'il est vrai que Chiboub n'était pas du tout correct dans sa vie social, mais il ne pourra jamais l'être avec la plus prestigieuse et patrimoniale équipe de l'Espérance sportive de Tunis.
Par contre, pour lui démontrer  sa mauvaise et dévoiler ses intentions viles, et afin de lui permettre d'améliorer tant son esprit dégradé que sa culture ; de lui demander, par un simple exercice d'écolier (même si son niveau d'instruction est inférieur), de changer le texte, par exemple comme pour un exercice du pronom personnel, le il par ils ou vous par tu etc.. : de changer son satanique écrit (et non article, car il ne mérite jamais cette appellation), et ce, de celui de l'Espérance, du C.A. ou de l'EOGKRAM et ce par l'Etoile sportive du Sahel ; et il trouvera rapidement la solution, et il réussira son article(son examen ; maintenant, il méritera par une équité du journalisme qu'il n'a jamais appris, ni entendu parler ; mais peut-être, comme-dit, celle qui lui permet de marcher sur la révolution, et ce en espérant conquérir une place au soleil comme « journaliste » de béni oui-oui dans un quelconque journal de régionalisme, comme tous ceux qui existaient avant le 24 Janvier, les journaux RC déistes dans le fief (abuseur ;profiteur),même, de ce parti déchu ; en attendant la confiscation de tant de biens et avantages, que M.Hassen Mzougui fait semblant d'ignorer ; mais quant à lui, il ne se reconnait (comme bon nombre de régionalistes comme lui) que devant la vache égorgée ?! mais il ne faut pas le blâmer, il pense peut-être à son avenir, et pourquoi pas comme en ont profités les RC déistes, il en profitera de sa part aujourd'hui, comme en ont profités certains(dont les biens connus) du 07 Novembre ; applaudir en masse, quelqu'un que personne ne connait… ; et surtout après des élections qui ont été toujours accompagnées de fraudes ; dont l'une des plus célèbres de 1981 (refaite pour fraude) ; où était si Hassen à ce moment ?Quelle équipe supportait-il à ce moment ?
-  A t-il oublié les dix sélectionnés de l'Etoile sans aucun mérite ?dont deux brésiliens naturalisés ?
- A t-il oublié les arbitres qui fraudés (tant nationaux qu'internationaux) pour l'Etoile ?
- A t-il oublié les subvenions accordées à tort et à travers pour l'Etoile ?
- Veut ramener des vidéos (preuve à l'appui) pour savoir qui de l'Etoile ou de l'Espérance bénéficiait des faveurs (flagrants et honteux) de l'arbitrage ; et contrairement à ce qu'il dit l'Espérance a été toujours lésée par ce que, justement et paradoxalement à ses dires, son président était Slim Chiboub ; tout comme d'ailleurs l'EOGK (nous l'avons suivis dans presque la majorité de ses matchs)qui a été, détrompez-vous dans tous ses matchs, la cible incroyable de la plupart des arbitres ; n'en parlons pas des rencontres que livrait l'EOGK contre l'Etoile, c'était de vrais mascarades arbitrales (de toutes les parties entre eux), les soulards (destructeurs de Hergla),vous confirmeront comment l'EOGK se permettait de vrais démonstrations footballistiques .
Apprenez M.Mzougui  que tout flatteur, « ne peut plus vivre dorénavant » au dépend de celui qui le remet une mission ! cette leçon vaut bien un article journalistique de prestigieux, sans doute.

reponse -corruption

Publié le 04/04/2011 à 15:14 par observatoire-medias-tunisiens

Le dossier publié la semaine dernière a provoqué trois réactions émanant des entreprises mises en cause. Nous les publions tels quels au nom de droit de réponse.
Précisions relatives à la privatisation de la société “Le Moteur”
Suite à l’article publié par Réalités en page 52 du N°1308 du 20 au 26/1/2011, il est notamment apporté les précisions suivantes :
La Privatisation de la Société Le Moteur S.A. faite suite à un appel d’offres initié par La Société Tunisienne de Banque détentrice avec ses filiales, de seulement 54% des actions de la Société Le Moteur S.A., sous l’égide du Secrétaire d’Etat à la Privatisation, en 1999 et dont l’issue est concrétisée en avril 2000, au profit de la Société IDM (Holding Financière «Investissement et Développement Mécanique») dont le capital et détenu exclusivement par le Groupe Mabrouk et ce, dans une totale transparence.
L’adjudication a été conclue pour un montant de vingt et un millions de Dinars Tunisiens (21 millions de DT) pour les 54% de la STB ce qui valorise globalement la société Le Moteur S.A. à trente neuf millions de dinars tunisiens (39 millions de DT) par un capital nominal de trois millions de dinars (3 M DT) .
1- Le règlement des 21millions de DT a été effectué par l’intermédiaire de la Société de Bourse de Tunisie séance du 03/05/2000.
2- Le règlement des 40% restant du capital, a été également effectué par la même voie de la Société de Bourse de Tunisie, par le biais d’une OPA (Offre Public d’Achat) qui s’était étalée sur environ deux années.

Réponse de l’ancien Conseil municipal de La Marsa
Comme suite à l’article intitulé «Affairisme couvert et soutenu par le pouvoir déchu : les grands dossiers de la corruption» (N°1308, du 20 au 26 janvier 2011, p52), nous avons l’honneur d’apporter les précisions suivantes quant à la dissolution du Conseil municipal de La Marsa dont nous avons été respectivement, président, premier vice-président, président de la Commission juridique et président de la commission technique:
1- Durant son premier mandat et son deuxième mandat inachevé, le Conseil municipal de la Marsa a fait preuve d’indépendance d’esprit et a toujours agi dans le respect de la légalité et le refus

droit de reponse

ontt- business news

Publié le 04/04/2011 à 15:05 par observatoire-medias-tunisiens
ImprimerEnvoyer cette pageEnvoyer cette page Partager Facebook 25/01/2011 L’ONTT vient de suspendre les mandats de deux de ses représentants à l’étranger : Badreddine Rouissi, après un mandat d’au moins 15 ans en tant que représentant pour la Hongrie et la Roumanie et Ezzeddine Hammedi, établi à l’ambassade de Tunisie à Washington depuis de nombreuses années, selon le site Destinationtunisie.info. Fathi Refaï, époux de Hayet Ben Ali de son second mariage qui était salarié à l’ONTT Francfort (avec titre de recruté local) et n’apparaissait à son poste qu’une fois par an à l’occasion du salon ITB Berlin où il était «chargé du protocole», est la troisième tête à tomber à l’étranger. Selon cette même source, l’ONTT a décidé de fermer définitivement la représentation pour la Hongrie et la Roumanie.

le croissant rouge-précisions à businessnews

Publié le 04/04/2011 à 15:02 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article
Suite à notre article "Le Croissant rouge tunisien veut s’assainir de l’intérieur" (lire notre article), nous avons reçu le droit de réponse suivant de son président, Dr Brahim El Gharbi : «Surpris par un article paru en date du 4/2/2011, attribué à un individu qui s’octroie la droit de juger de la légalité de nos structures et de l’action de nos volontaires, nous apportons les précisions suivantes : - Le président du Croissant rouge tunisien (CRT), militant des droits humains durant toute sa carrière, a toujours veillé à la sauvegarde de l’intégrité de la société et au respect de ses principes d’indépendance, de neutralité et d’impartialité en toutes circonstances. - Nos volontaires se sont mobilisés pour recruter les donneurs de sang et assurer les quantités de sang nécessaires aux blessés à Tunis, Bizerte et ailleurs. - Nos équipes de volontaires étaient présents à la Kasbah et ont dispensé les premiers secours, évacué, fourni les couvertures et servi les repas. - Un professeur d’orthopédie, volontaire CRT, a assuré un suivi régulier des soins dispensés par ses collègues orthopédistes des hôpitaux de Sidi Bouzid, Kasserine et Gafsa et vérifié que nos blessés bénéficient du meilleur traitement. - Quelques blessés ont été évacués de Thala sur Tunis pour avis spécialisé et un suivi continu est assuré. - Grâce à la solidarité nationale et internationale, le CRT élabore un vaste programme d’assistance sociale ciblant les communautés les plus démunies. Le CRT remercie toutes ses structures professionnelles et volontaires qui ont confirmé leur engagement humanitaire et assuré avec efficacité leur mission d’atténuer les souffrances humaines de nos victimes de la lutte pour la liberté er de la dignité. Dr Brahim El Gharbi»

mehdi houas repond à business news

Publié le 04/04/2011 à 14:59 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article voiture news
Dernières newsDroit de réponse de Mehdi Houas à Business News ImprimerEnvoyer cette pageEnvoyer cette page Partager Facebook 30/03/2011 Le ministère du Commerce et du Tourisme dément formellement l'information parue dans votre livraison du 28 mars 2011 " article : des manifestants s'attaquent à un convoi ministériel, diplomates et de journalistes à Souk Lahad ", selon laquelle la voiture du ministre a fait l'objet d'un jet de pierres à l'entrée de la ville de Souk Lahad. Ni la voiture du ministre ni celles des diplomates n'ont fait l'objet d'aucune attaque du genre sauf celle de la Garde nationale qui devançait de loin le cortège. La journaliste de "Businessnews", qui était elle même loin de l'entrée de la ville- de l'aveu de plusieurs journalistes présents- a procédé à un raccourci hâtif bafouant ainsi les règles déontologiques les plus élémentaires du métier de journaliste. Zeyneb Dridi, votre envoyée spéciale et invitée par le ministère a, à travers cette information erronée porté préjudice à un secteur dont la relance rapide est une priorité nationale absolue précisément au regard du fort contenu économique et social de l'activité touristique. Réponse de Business News : Nous avons certes écrit que la voiture du ministre a été la cible de jets de pierres, alors que ce sont les voitures (et non la voiture) de la Garde nationale qui l’ont été, mais de là à ce que le ministre nous accuse de bafouer les règles déontologiques les plus élémentaires en raison d’une erreur d’appréciation de notre journaliste (qui n’a pas distingué la voiture du ministre de celle de la Garde nationale) est un raccourci hâtif de sa part puisqu’il s’agit d’un détail par rapport aux faits clairement avérés qu’il cherche à minimiser. Le ministre ne pèse pas ses mots, en s’attaquant à un média qui a fait son devoir, et c’est dommage, car ce n’est pas l’information de Business News qui a porté un préjudice au secteur, mais les agents cagoulés et fortement armés des forces de sécurité qui ont déclenché l’ire des habitants de Souk Lahad et qui seraient derrière le remplacement du ministre de l’Intérieur. M. Houas a bien souhaité qu’on ne parle pas de cet incident, au prétexte de la priorité nationale, mais nous nous refusons à ce type de censure, car ce sont ces mêmes prétextes que nous brandissait l’ancien régime qui a élargi les priorités nationales à différents autres secteurs bâillonnant ainsi toute la presse. Nous ne continuerons pas à servir de bouc émissaire.

démenti- chauffeurs en greve

Publié le 03/04/2011 à 19:38 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article travail
Transport en commun - Riposte des chauffeurs de la Société de transport collectif (la City) après les déclarations de la Direction Générale
«Nous ne sommes pas en grève, nous avons été démis de nos fonctions»

article.php?ID_art=54704">
• «Des propos diffamatoires de la direction, et nous demandons une réintégration immédiate dans nos fonctions quelles que soient les conditions»
• «Un chauffeur titulaire reçoit un salaire net de 400 dinars, le contractuel reçoit 316 dinars…un débutant peut se trouver avec un net à payer nul après retenue de réparation et retenue formation»

Suite à l’article paru sur nos colonnes en date du 31 mars 2011 intitulé : « Les chauffeurs de la société « City » en grève, depuis 10 jours : Aucune des quatre entreprises privées du secteur n’appartient de près ou de loin au clan mafieux», les chauffeurs ont réagi sur les propos apportés par la direction générale. Rappelons que la direction générale avait déclaré que les bus de la société de transport collectif ne desservent pas en raison des grèves observées par les chauffeurs qui demandent essentiellement une augmentation de salaires, lesquels sont bien rémunérés selon la direction. Ces propos ont soulevé la grogne des chauffeurs qui démentent ces allégations. Voici leur version…

« Nous avons été surpris par les propos rapportés sur vos colonnes. Ce sont de fausses allégations. De prime abord et pour information nous ne sommes pas en grève et ce depuis plus de deux semaines, mais nous avons été démis de nos fonctions. Notre conflit avec la direction a commencé après avoir formulé notre volonté de régulariser la situation financière des contractuels. Et devant le refus et la réaction agressive de la direction, nous avons présenté notre adhésion collective à l’Union Générale Tunisienne de Travail (UGTT). Une délégation syndicale a été constituée au sein de notre société après l’assemblée constitutive du 6 mars 2011. Cinq membres ont été élus et qui sont : Elyes El Matmati, Mourad Chahid, El Habib Laabidi, Hamdi El Hmaïdi et Chaker El Aouadi. Le 15 mars L’Union Régionale du Travail de Tunis a adressé une lettre d’information à la direction générale sur la composition de la délégation syndicale. Le lendemain, 16 mars 2011, la direction générale attire l’attention de l’Union Régionale du Travail de Tunis que les membres élus ont été démis de leurs fonctions et précise que la constitution d’un syndicat de base est illégale au sein de la société du fait qu’elle ne compte pas plus de 10 salariés titulaires sur un total de 40 employés. Et après le licenciement abusif des cinq délégués syndicaux, les chauffeurs de la City et par solidarité avec leurs collègues ont décidé de faire un sit-in de deux heures et demi. Sauf que, la réaction de la direction a été inattendue en jetant dehors toute la foule. Et depuis nous sommes en arrêt d’activité. D’ailleurs les cinq délégués n’ont pas encaissé leurs émoluments à la fin de ce mois, or nous sommes des pères de familles et nous avons des engagements énormes.
Et puis et concernant les salaires, nous avons été surpris par les niveaux imaginaires et faramineux des rémunérations prétendues annoncés par la direction générale. Entre 700 et 800 dinars nets d’impôts ! C’est complètement hors de question. Un chauffeur titulaire, qui a cinq ans de travail, reçoit un salaire net de 400 dinars. Pour atteindre les 500 dinars il faut travailler des heures supplémentaires qui ne sont pourtant pas majorées. Bref, il faut 64 heures de travail par mois pour atteindre un niveau de salaire acceptable.
Pour les contractuels et les débutants, c’est la catastrophe. Un contractuel reçoit un salaire net de 316 dinars. Une rémunération qui sera épongée après déduction des charges de formation. Il faut savoir que le chauffeur paye les frais de formation avec ses propres moyens, une formation accordée gratuitement par les anciens chauffeurs. Et dans certains cas, le salarié peut se retrouver après déductions avec un net à payer de 0 millime ou avec une rémunération dérisoire ne dépassant pas les 200 dinars. C’est de l’exploitation pure et simple. Or, la société est très rentable, une recette journalière peut aller jusqu’à 11 millions. Nous, chauffeurs nous avons été toujours au service des citoyens et de notre employeur. Nous avons travaillé sous le couvre-feu et nous n’avons pas interrompu notre travail durant les deux semaines post-révolution. Aujourd’hui nous attendons que justice soit rendue. Et nous n’avons aucune revendication, nous renonçons actuellement à toute demande de régularisation de salaires et nous exhortons la direction générale pour reprendre nos fonctions dans l’immédiat. C’est le gagne-pain de plusieurs familles qui est en jeu»
Yosr GUERFEL AKKARI

tunisie telecom - communiqué

Publié le 02/04/2011 à 20:37 par observatoire-medias-tunisiens Tags : travail cadres
Publié le Mercredi 16 Mars 2011 à 12:51
Tout en se réjouissant des nouveaux espaces de liberté d’expression qui se présentent à tous les Tunisiens depuis le 14 janvier, la Direction Générale de Tunisie Telecom souhaite apporter des précisions suites aux nombreuses accusations dont elle a fait l’objet ces dernières semaines.

En préambule, il est important de souligner que Tunisie Telecom, est une entreprise publique dont la privatisation partielle de 35 % de son capital acquis par le partenaire stratégique TeCom DIG de Dubaï a drainé un record d’apport d’investissement étranger en Tunisie de plus de 3 000 Millions de Dinars en Juillet 2006.

Contrats de travail exceptionnels :

          -Pour faire face à un environnement concurrentiel de plus en plus difficile, face à la non flexibilité du statut en vigueur pour pouvoir attirer des compétences tunisiennes aux conditions de marché de l’emploi, Tunisie Telecom  a été contrainte de recourir à des contrats CDD 3 ans et ceci dans l’attente de trouver une solution définitive au sujet du statut du personnel.

       -Les cadres contractuels ont été sélectionnés exclusivement parmi les compétences tunisiennes, en Tunisie ou à l’étranger pour répondre à des objectifs de renforcement de fonctions clés spécifiques, principalement : marketing, commercial, systèmes d’information et finances. Ces compétences -débauchées d’entreprises nationales et  internationales- ont été intégrées dans le respect strict des règles de gouvernance de la Société : le recrutement de l'ensemble de ces cadres s’est fait selon un processus d’évaluation au sein du comité d’intégration de l’entreprise et de validation définitive par le Conseil d'Administration.

Les salaires alloués ont fait l’objet d’une étude de benchmark réalisée par un cabinet international spécialisé en ressources humaines ; les niveaux des salaires retenus sont en ligne avec ceux pratiqués par la concurrence et par le marché tunisien pour les cas d’espèce. Et contrairement à ce qui s’est dit dans certains média, la moyenne de ces salaires des contractuels est autour de 3500  DT net/mois, et ils représentent moins de 3% de la masse salariale de l’entreprise, soit très loin des 37 millions de dinars et des 30% dont parlent certaines sources.

la presse-ministere de la santé

Publié le 30/03/2011 à 00:25 par observatoire-medias-tunisiens
NDLR
En réponse à la précision avancée par le ministère de la Santé publique quant à l'article paru le 19/ 3/ 2011 et intitulé: «Puni pour avoir dévoilé des dépassements», il est à souligner que M. Abdel Jalil Dhahri a indiqué que la passation entre l'ex-directeur du groupement de la santé de base de La Manouba et lui-même n'a pas eu lieu. «La passation n'a pas eu lieu. Je n'ai eu droit ni à un inventaire expliquant le fonctionnement et la gestion dudit Groupement ni des recommandations ou des remarques censées être fournies par l'ex-responsable qui est resté à la tête de cette institution huit ans durant», a indiqué M. Dhahri lors de l'entretien avec La Presse.
Pour ce qui est de la nomination de Mlle Emna Chérif en tant que nouvelle directrice du Groupement, M. Dhahri, ainsi que le personnel du Groupement de la santé de base de La Manouba, ont insisté sur l'illégalité de cette démarche étant donné que Mlle Chérif ainsi que le directeur régional de la santé de base de La Manouba n'ont présenté aucun document officiel émanant du ministère de la santé publique justifiant cette démarche. Mlle Rim Omrani, Mme Hanène Khouja et M. Hassen Zouaghi ont insisté sur ce point, ajoutant que la démarche et du directeur régional et de Mlle Chérif les a choqués tellement elle était brusque et sans justificatif. Le personnel a également ajouté que Ms Chérif, qui n'avait passé qu'une seule journée au Groupement ( ce qui suscite l'étonnement de la part d'une responsable fraîchement désignée par le ministère comme cela est rapporté dans la précision), a attendu la sortie du personnel en fin de journée pour changer les serrures. D'autant plus que le dossier qui nous a été fourni par M. Dhahri comporte un constat élaboré par M. Othmane Ennin, huissier de justice. Ce document rapporte que M. Dhahri ainsi que l’ huissier se sont rendus au siège dudit Groupement pour constater que les serrures ont été modifiées. Le gardien, M. Ammar Bel Haj, a indiqué que Mlle Chérif a changé les serrures et a interdit au personnel de tenter d'y entrer jusqu'à ce qu'elle revienne.
En ce qui concerne l'unité d'hémodialyse de la Manouba, les informations quant aux abus au niveau de la gestion et au niveau du contact entre Dr Afef Dridi Rebaï et le staff médical, il y a lieu de préciser que Dr. Béchir Daghfous ainsi que Dr Aïcha Zargouni ont déjà fait part au ministère de tutelle, le 18 décembre 2008, dans une note d'information sur le fonctionnement du centre d'hémodialyse de la Manouba, de leur avis en tant que médecins, de la non-appropriation des équipements


 
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droit de reponse
ontt- business news
Publié le 04/04/2011 à 15:05 par observatoire-medias-tunisiens ImprimerEnvoyer cette pageEnvoyer cette page Partager Facebook 25/01/2011 L’ONTT vient de suspendre les mandats de deux de ses représentants à l’étranger : Badreddine Rouissi, après un mandat d’au moins 15 ans en tant que représentant pour la Hongrie et la Roumanie et Ezzeddine Hammedi, établi à l’ambassade de Tunisie à Washington depuis de nombreuses années, selon le site Destinationtunisie.info. Fathi Refaï, époux de Hayet Ben Ali de son second mariage qui était salarié à l’ONTT Francfort (avec titre de recruté local) et n’apparaissait à son poste qu’une fois par an à l’occasion du salon ITB Berlin où il était «chargé du protocole», est la troisième tête à tomber à l’étranger. Selon cette même source, l’ONTT a décidé de fermer définitivement la représentation pour la Hongrie et la Roumanie.
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Publié le 04/04/2011 à 15:02 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article Suite à notre article "Le Croissant rouge tunisien veut s’assainir de l’intérieur" (lire notre article), nous avons reçu le droit de réponse suivant de son président, Dr Brahim El Gharbi : «Surpris par un article paru en date du 4/2/2011, attribué à un individu qui s’octroie la droit de juger de la légalité de nos structures et de l’action de nos volontaires, nous apportons les précisions suivantes : - Le président du Croissant rouge tunisien (CRT), militant des droits humains durant toute sa carrière, a toujours veillé à la sauvegarde de l’intégrité de la société et au respect de ses principes d’indépendance, de neutralité et d’impartialité en toutes circonstances. - Nos volontaires se sont mobilisés pour recruter les donneurs de sang et assurer les quantités de sang nécessaires aux blessés à Tunis, Bizerte et ailleurs. - Nos équipes de volontaires étaient présents à la Kasbah et ont dispensé les premiers secours, évacué, fourni les couvertures et servi les repas. - Un professeur d’orthopédie, volontaire CRT, a assuré un suivi régulier des soins dispensés par ses collègues orthopédistes des hôpitaux de Sidi Bouzid, Kasserine et Gafsa et vérifié que nos blessés bénéficient du meilleur traitement. - Quelques blessés ont été évacués de Thala sur Tunis pour avis spécialisé et un suivi continu est assuré. - Grâce à la solidarité nationale et internationale, le CRT élabore un vaste programme d’assistance sociale ciblant les communautés les plus démunies. Le CRT remercie toutes ses structures professionnelles et volontaires qui ont confirmé leur engagement humanitaire et assuré avec efficacité leur mission d’atténuer les souffrances humaines de nos victimes de la lutte pour la liberté er de la dignité. Dr Brahim El Gharbi»
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Publié le 04/04/2011 à 14:59 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article voiture news Dernières newsDroit de réponse de Mehdi Houas à Business News ImprimerEnvoyer cette pageEnvoyer cette page Partager Facebook 30/03/2011 Le ministère du Commerce et du Tourisme dément formellement l'information parue dans votre livraison du 28 mars 2011 " article : des manifestants s'attaquent à un convoi ministériel, diplomates et de journalistes à Souk Lahad ", selon laquelle la voiture du ministre a fait l'objet d'un jet de pierres à l'entrée de la ville de Souk Lahad. Ni la voiture du ministre ni celles des diplomates n'ont fait l'objet d'aucune attaque du genre sauf celle de la Garde nationale qui devançait de loin le cortège. La journaliste de "Businessnews", qui était elle même loin de l'entrée de la ville- de l'aveu de plusieurs journalistes présents- a procédé à un raccourci hâtif bafouant ainsi les règles déontologiques les plus élémentaires du métier de journaliste. Zeyneb Dridi, votre envoyée spéciale et invitée par le ministère a, à travers cette information erronée porté préjudice à un secteur dont la relance rapide est une priorité nationale absolue précisément au regard du fort contenu économique et social de l'activité touristique. Réponse de Business News : Nous avons certes écrit que la voiture du ministre a été la cible de jets de pierres, alors que ce sont les voitures (et non la voiture) de la Garde nationale qui l’ont été, mais de là à ce que le ministre nous accuse de bafouer les règles déontologiques les plus élémentaires en raison d’une erreur d’appréciation de notre journaliste (qui n’a pas distingué la voiture du ministre de celle de la Garde nationale) est un raccourci hâtif de sa part puisqu’il s’agit d’un détail par rapport aux faits clairement avérés qu’il cherche à minimiser. Le ministre ne pèse pas ses mots, en s’attaquant à un média qui a fait son devoir, et c’est dommage, car ce n’est pas l’information de Business News qui a porté un préjudice au secteur, mais les agents cagoulés et fortement armés des forces de sécurité qui ont déclenché l’ire des habitants de Souk Lahad et qui seraient derrière le remplacement du ministre de l’Intérieur. M. Houas a bien souhaité qu’on ne parle pas de cet incident, au prétexte de la priorité nationale, mais nous nous refusons à ce type de censure, car ce sont ces mêmes prétextes que nous brandissait l’ancien régime qui a élargi les priorités nationales à différents autres secteurs bâillonnant ainsi toute la presse. Nous ne continuerons pas à servir de bouc émissaire.
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J'aime démenti- chauffeurs en greve
Publié le 03/04/2011 à 19:38 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article travail Transport en commun - Riposte des chauffeurs de la Société de transport collectif (la City) après les déclarations de la Direction Générale
«Nous ne sommes pas en grève, nous avons été démis de nos fonctions»
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• «Des propos diffamatoires de la direction, et nous demandons une réintégration immédiate dans nos fonctions quelles que soient les conditions»
• «Un chauffeur titulaire reçoit un salaire net de 400 dinars, le contractuel reçoit 316 dinars…un débutant peut se trouver avec un net à payer nul après retenue de réparation et retenue formation»

 

Suite à l’article paru sur nos colonnes en date du 31 mars 2011 intitulé : « Les chauffeurs de la société « City » en grève, depuis 10 jours : Aucune des quatre entreprises privées du secteur n’appartient de près ou de loin au clan mafieux», les chauffeurs ont réagi sur les propos apportés par la direction générale. Rappelons que la direction générale avait déclaré que les bus de la société de transport collectif ne desservent pas en raison des grèves observées par les chauffeurs qui demandent essentiellement une augmentation de salaires, lesquels sont bien rémunérés selon la direction. Ces propos ont soulevé la grogne des chauffeurs qui démentent ces allégations. Voici leur version…
 
« Nous avons été surpris par les propos rapportés sur vos colonnes. Ce sont de fausses allégations. De prime abord et pour information nous ne sommes pas en grève et ce depuis plus de deux semaines, mais nous avons été démis de nos fonctions. Notre conflit avec la direction a commencé après avoir formulé notre volonté de régulariser la situation financière des contractuels. Et devant le refus et la réaction agressive de la direction, nous avons présenté notre adhésion collective à l’Union Générale Tunisienne de Travail (UGTT). Une délégation syndicale a été constituée au sein de notre société après l’assemblée constitutive du 6 mars 2011. Cinq membres ont été élus et qui sont : Elyes El Matmati, Mourad Chahid, El Habib Laabidi, Hamdi El Hmaïdi et Chaker El Aouadi. Le 15 mars L’Union Régionale du Travail de Tunis a adressé une lettre d’information à la direction générale sur la composition de la délégation syndicale. Le lendemain, 16 mars 2011, la direction générale attire l’attention de l’Union Régionale du Travail de Tunis que les membres élus ont été démis de leurs fonctions et précise que la constitution d’un syndicat de base est illégale au sein de la société du fait qu’elle ne compte pas plus de 10 salariés titulaires sur un total de 40 employés. Et après le licenciement abusif des cinq délégués syndicaux, les chauffeurs de la City et par solidarité avec leurs collègues ont décidé de faire un sit-in de deux heures et demi. Sauf que, la réaction de la direction a été inattendue en jetant dehors toute la foule. Et depuis nous sommes en arrêt d’activité. D’ailleurs les cinq délégués n’ont pas encaissé leurs émoluments à la fin de ce mois, or nous sommes des pères de familles et nous avons des engagements énormes.
Et puis et concernant les salaires, nous avons été surpris par les niveaux imaginaires et faramineux des rémunérations prétendues annoncés par la direction générale. Entre 700 et 800 dinars nets d’impôts ! C’est complètement hors de question. Un chauffeur titulaire, qui a cinq ans de travail, reçoit un salaire net de 400 dinars. Pour atteindre les 500 dinars il faut travailler des heures supplémentaires qui ne sont pourtant pas majorées. Bref, il faut 64 heures de travail par mois pour atteindre un niveau de salaire acceptable.
Pour les contractuels et les débutants, c’est la catastrophe. Un contractuel reçoit un salaire net de 316 dinars. Une rémunération qui sera épongée après déduction des charges de formation. Il faut savoir que le chauffeur paye les frais de formation avec ses propres moyens, une formation accordée gratuitement par les anciens chauffeurs. Et dans certains cas, le salarié peut se retrouver après déductions avec un net à payer de 0 millime ou avec une rémunération dérisoire ne dépassant pas les 200 dinars. C’est de l’exploitation pure et simple. Or, la société est très rentable, une recette journalière peut aller jusqu’à 11 millions. Nous, chauffeurs nous avons été toujours au service des citoyens et de notre employeur. Nous avons travaillé sous le couvre-feu et nous n’avons pas interrompu notre travail durant les deux semaines post-révolution. Aujourd’hui nous attendons que justice soit rendue. Et nous n’avons aucune revendication, nous renonçons actuellement à toute demande de régularisation de salaires et nous exhortons la direction générale pour reprendre nos fonctions dans l’immédiat. C’est le gagne-pain de plusieurs familles qui est en jeu»
Yosr GUERFEL AKKARI
 
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J'aime tunisie telecom - communiqué
Publié le 02/04/2011 à 20:37 par observatoire-medias-tunisiens Tags : travail cadres Publié le Mercredi 16 Mars 2011 à 12:51
Tout en se réjouissant des nouveaux espaces de liberté d’expression qui se présentent à tous les Tunisiens depuis le 14 janvier, la Direction Générale de Tunisie Telecom souhaite apporter des précisions suites aux nombreuses accusations dont elle a fait l’objet ces dernières semaines.

En préambule, il est important de souligner que Tunisie Telecom, est une entreprise publique dont la privatisation partielle de 35 % de son capital acquis par le partenaire stratégique TeCom DIG de Dubaï a drainé un record d’apport d’investissement étranger en Tunisie de plus de 3 000 Millions de Dinars en Juillet 2006.

Contrats de travail exceptionnels :
          -Pour faire face à un environnement concurrentiel de plus en plus difficile, face à la non flexibilité du statut en vigueur pour pouvoir attirer des compétences tunisiennes aux conditions de marché de l’emploi, Tunisie Telecom  a été contrainte de recourir à des contrats CDD 3 ans et ceci dans l’attente de trouver une solution définitive au sujet du statut du personnel.
       -Les cadres contractuels ont été sélectionnés exclusivement parmi les compétences tunisiennes, en Tunisie ou à l’étranger pour répondre à des objectifs de renforcement de fonctions clés spécifiques, principalement : marketing, commercial, systèmes d’information et finances. Ces compétences -débauchées d’entreprises nationales et  internationales- ont été intégrées dans le respect strict des règles de gouvernance de la Société : le recrutement de l'ensemble de ces cadres s’est fait selon un processus d’évaluation au sein du comité d’intégration de l’entreprise et de validation définitive par le Conseil d'Administration.
Les salaires alloués ont fait l’objet d’une étude de benchmark réalisée par un cabinet international spécialisé en ressources humaines ; les niveaux des salaires retenus sont en ligne avec ceux pratiqués par la concurrence et par le marché tunisien pour les cas d’espèce. Et contrairement à ce qui s’est dit dans certains média, la moyenne de ces salaires des contractuels est autour de 3500  DT net/mois, et ils représentent moins de 3% de la masse salariale de l’entreprise, soit très loin des 37 millions de dinars et des 30% dont parlent certaines sources.
 
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J'aime la presse-ministere de la santé
Publié le 30/03/2011 à 00:25 par observatoire-medias-tunisiens NDLR
En réponse à la précision avancée par le ministère de la Santé publique quant à l'article paru le 19/ 3/ 2011 et intitulé: «Puni pour avoir dévoilé des dépassements», il est à souligner que M. Abdel Jalil Dhahri a indiqué que la passation entre l'ex-directeur du groupement de la santé de base de La Manouba et lui-même n'a pas eu lieu. «La passation n'a pas eu lieu. Je n'ai eu droit ni à un inventaire expliquant le fonctionnement et la gestion dudit Groupement ni des recommandations ou des remarques censées être fournies par l'ex-responsable qui est resté à la tête de cette institution huit ans durant», a indiqué M. Dhahri lors de l'entretien avec La Presse.
Pour ce qui est de la nomination de Mlle Emna Chérif en tant que nouvelle directrice du Groupement, M. Dhahri, ainsi que le personnel du Groupement de la santé de base de La Manouba, ont insisté sur l'illégalité de cette démarche étant donné que Mlle Chérif ainsi que le directeur régional de la santé de base de La Manouba n'ont présenté aucun document officiel émanant du ministère de la santé publique justifiant cette démarche. Mlle Rim Omrani, Mme Hanène Khouja et M. Hassen Zouaghi ont insisté sur ce point, ajoutant que la démarche et du directeur régional et de Mlle Chérif les a choqués tellement elle était brusque et sans justificatif. Le personnel a également ajouté que Ms Chérif, qui n'avait passé qu'une seule journée au Groupement ( ce qui suscite l'étonnement de la part d'une responsable fraîchement désignée par le ministère comme cela est rapporté dans la précision), a attendu la sortie du personnel en fin de journée pour changer les serrures. D'autant plus que le dossier qui nous a été fourni par M. Dhahri comporte un constat élaboré par M. Othmane Ennin, huissier de justice. Ce document rapporte que M. Dhahri ainsi que l’ huissier se sont rendus au siège dudit Groupement pour constater que les serrures ont été modifiées. Le gardien, M. Ammar Bel Haj, a indiqué que Mlle Chérif a changé les serrures et a interdit au personnel de tenter d'y entrer jusqu'à ce qu'elle revienne.
En ce qui concerne l'unité d'hémodialyse de la Manouba, les informations quant aux abus au niveau de la gestion et au niveau du contact entre Dr Afef Dridi Rebaï et le staff médical, il y a lieu de préciser que Dr. Béchir Daghfous ainsi que Dr Aïcha Zargouni ont déjà fait part au ministère de tutelle, le 18 décembre 2008, dans une note d'information sur le fonctionnement du centre d'hémodialyse de la Manouba, de leur avis en tant que médecins, de la non-appropriation des équipements
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J'aime curieux droit de reponse
Publié le 26/03/2011 à 17:52 par observatoire-medias-tunisiens Tags : image bonne chez création travail amis femmes texte news horreur Home » Les Articles » Réponse à un curieux droit de réponse de N. B. de chez B.N.
chez B.N." rel="bookmark" href="http://nawaat.org/portail/2011/03/07/reponse-a-un-curieux-droit-de-reponse-de-nizar-bahloul/">Réponse à un curieux droit de réponse de N. B. de chez B.N.
Opinions Sur Rue | Mar 07, 2011 | 27 comments

Par Amjad Ghazi
Vous venez sur Nawaat pour vous exprimer et c’est bien votre droit, un droit assuré à tous, comme vous le constatez. Mais vous venez aussi pour dire que vous n’avez rien sur à vous reprocher, pour vos défausser sur les autres et, en passant, donner des leçons de correction et de déontologie journalistique. On peut, à la rigueur, comprendre votre défense contorsionnée, il n’est jamais trop tard pour se refaire une virginité. La comprendre pour ce qu’elle est. Mais pour les leçons, non Monsieur ! Pas vous. En la matière, vous devriez vous taire et vous confondre à l’ombre de vos maîtres qui, peu à peu, disparaissent.
Nul besoin de reparler de l’affaire de M. Ahmed Ben Mustapha, Nawaat a publié votre texte, et tout le monde peut constater que vous vous êtes comporté comme des auxiliaires de procureur, un procureur de Ben Ali, instruisant toujours à charge. L’investigation, la vérification et toutes ces choses qui sont le travail et l’honneur du journalisme… roupie de sansonnet que tout cela, n’est-ce pas Monsieur, le Directeur ?
Ce n’est pas la peine non plus de remonter bien loin dans l’histoire de vos publications, d’autant que, n’écoutant que votre insigne courage, vous vous êtes dépêché de purger vos archives, en le claironnant en plus, pour mieux brouiller les pistes. Depuis quelques semaines, certaines officines font la même chose que vous. Loin des regards et en silence. Ils doivent conserver quelque poussière de dignité.
Je m’arrêterai, un instant, avec des haut-le-cœur, sur ce que vous avez écrit, le 7 février dernier, pendant que les mercenaires de vos maîtres et amis tentaient de mettre le pays à feu et à sang. Sous le titre « Dérapages gouvernementaux trop risqués », vous avez longuement disserté sur ce que la rue arrachait de haute lutte, à vos maîtres, en traînant dans la boue des hommes et des femmes qui menaient le plus juste des combats.
Ainsi avez-vous osé parler de «volonté populiste de changer un gouvernement fraichement nommé» ! Populiste, Monsieur des dictateurs et de leurs valets, qui vous nourrissiez de leurs miettes, et en bout de table, pour les plus fastes de vos jours, populiste venant de vous, est un insigne hommage. Beaucoup d’autres ont écrit plus justement, pour les faits et pour la langue, simplement, populaire. Et puis, il faut avoir le nez franchement bouché ou dans sa glande uropygienne de plumitif posté, pour trouver une quelconque fraîcheur à un ramassis de repris du RCD !
Vous tenez pour horreur absolue que des femmes et des hommes réclament et obtiennent le départ de sinistres ministres –vos donneurs d’ordre, de toujours-, exécutants de basses œuvres, auteurs de forfaitures et de détournements multiples, dont certains, tortionnaires de profession et de vocation sont recherchés par Interpol et d’autres dans le couloir de leur juge. C’est votre droit, et, dans la morale de la pègre, cela s’appelle fidélité.
Vous criez au scandale lorsque des populations longtemps maintenues en quasi-esclavage par des potentats locaux -avec votre complicité, d’ailleurs- trouvent suffisamment de force et de détermination pour chasser des gouverneurs corrompus jusqu’à la moelle et exiger et obtenir leur remplacement par d’autres qui n’auraient pas des mains aussi sales.
Vous pleurez sur le sort de certains PDG, négriers des temps modernes, qui ont démissionné, et démissionnent encore, pour fuir qui le pays qui ses responsabilités et la justice –un peu comme vous le faites, pour les responsabilités-, et d’autres, fâchés définitivement avec l’honneur, que l’on congédie comme des malpropres -ce qu’ils sont en vérité. Solidarité de grands et de petits porteurs de portefeuilles et de valises.
Vous parlez des revendications sociales qui, pour vous, se résument à l’augmentation de salaire. Vous, vous êtes-vous seulement demandé sur l’origine de cette manœuvre ourdie par les vôtres, afin de généraliser le chaos que répandaient, par ailleurs et par la terreur, les bandes armées de vos maîtres ? Si dans les hautes sphères des syndicats, certains -des vôtres- vous ont emboité le pas, y a-t-il là quelque mystère ? Le moment du dévoilement est approche, sauriez-vous les défendre ?
Ne reculant devant rien, vous osez cette diarrhée verbale, votre nourriture quotidienne, et toutes vos prières : «Avant le 14-Janvier, on avait un peuple de béni oui-oui. Après le 14-Janvier, c’est un gouvernement de béni oui-oui que nous avons. Vive la révolution, vive le peuple, vive la volonté du peuple ! Chacun s’amuse comme il peut, et plus on est de fous, mieux c’est.»?
De l’audace ! toujours de l’audace ! comme chez les mondaines appointées !
“Béni oui-oui“, écrivez-vous ? quelle extrême élégance de style… colonial ! Ainsi parlaient vos anciens pères qui sont partis dans la poubelle de l’Histoire.
“Béni oui-oui“, Monsieur le salaud, est une infamie radicale ; c’est les bougnoules de jadis, des paras et des colons, ceux qui, comme vous, faisaient dans le beau style et avaient du lexique, un lexique pourri qui va des Fatma au Bled en passant par fissa, saloperies qu’ils aboyaient, le fusil à la main.
Savez-vous de quel lieu vous parlez ? Savez-vous ce que vous transportez dans ce qui vous sert de bouche ?
Je conçois tout à fait que des cris vivifiants tels que Vive la Révolution, Vive le peuple… vous écorchent les oreilles, Monsieur de la Distinction, ou vous mettent au bord de l’apoplexie. Je conçois aussi que vous preniez les revendications d’un peuple qui tente de prendre en main son destin comme une vaste récréation, une bonne blague, n’est-ce pas, et un soufflet qui ne tardera pas à retomber. Mais pourquoi assimilez-vous donc ce peuple que vous méprisez, d’un trait de plume, à ceux de la claque, aux danseuses galantes, aux autres vous-mêmes, ceux du RCD et de ses satellites qui, de la cave au grenier, applaudissaient à tout rompre, au moindre borborygme de votre Führer ?
Ceux qui ont lutté, ceux qui luttent, ceux qui sont morts dans les prisons, ceux qui sont morts sous les balles, sur le seuil de la liberté, ceux qui ont perdu la raison dans les geôles de vos maîtres, ou en sont sortis à jamais brisés… Ceux-là, Monsieur le cireur de pompes, n’ont jamais dit « oui » à vos maîtres, et encore moins à vos crédos. Et, tout le monde sait qu’ils sont très nombreux, qu’ils sont, et de loin ! le plus grand nombre. Tout le monde, sauf vous et vos maîtres et vos semblables.
Mais vous allez plus loin encore : Parlant des hommes de mains de l’ancien régime vous notez ceci : « Mais ces 2000-3000 individus, aussi armés soient-ils, ne sont pas les plus dangereux et ne sauraient menacer une volonté de plusieurs millions de citoyens sincères. Les plus dangereux, ce sont nous autres les citoyens.?» Puis vous passez à l’énumération de ces « bandits redoutables » : « squatteurs de maisons de la SNIT », « personnels, précaires, qui observent des grèves sauvages pour obtenir des avantages auxquels ils n’ont aucun droit », « syndicalistes qui agressent des PDG, les poussant à quitter les lieux, voire à présenter leur démission »
Commenter cela est fastidieux et une perte de temps. Ceci cependant, ce « nous » licencieux, intempestif et incongru, comme il a dû vous coûter ! et quel arrachement ! Et dire que, pour la création entière, il ne vaut pas un clou !
Monsieur, le clavier de son maître, le tout en minuscule, après le 14 janvier, on croyait la presse mercenaire à jamais muette, peut-être enterrée, et rangées ses brosses à reluire. Votre B. N. continue cependant. Vous pensez peut-être l’adapter à vos combats d’arrière-garde. Brouillages Nauséeux, est-ce votre nouveau label ?
Amjad Ghazi
Le 7 mars 2011
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J'aime nessma société d'assurance
Publié le 26/03/2011 à 17:23 par observatoire-medias-tunisiens Tunisie : Tunis-Ré dément les informations diffusées sur Nessma TV
 
La société de réassurances Tunis-Ré porte à la connaissance de ses actionnaires, dans un communiqué, que contrairement à ce qui a été diffusé par la chaîne de télévision NESSMA, la structure de capital de Tunis-Ré ne contient aucune participation appartenant à des membres de la famille liée au président déchu.
En effet, la structure de capital de ladite société est détenue essentiellement par les sociétés d’assurances, quelques banques tunisiennes, l’Etat tunisien et les organismes de placement an valeurs mobilières.
La part revenant aux personnes physiques dans le cadre de l’ouverture du capital de la société au grand public ne dépasse pas les 20% et la participation individuelle la plus importante dans cette catégorie ne dépasse pas les 2% du capital.
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J'aime tunisie telecom
Publié le 26/03/2011 à 16:27 par observatoire-medias-tunisiens Tags : 2010 travail histoire internet cadres     COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA DIRECTION GENERALE DE TUNISIE TELECOM
Tunis le 15 mars 2011. Tout en se réjouissant des nouveaux espaces de liberté d’expression qui se présentent à tous les Tunisiens depuis le 14 janvier, la Direction Générale de Tunisie Telecom souhaite apporter des précisions suites aux nombreuses accusations dont elle a fait l’objet ces dernières semaines...


 
 
 
Tout en se réjouissant des nouveaux espaces de liberté d’expression qui se présentent à tous les Tunisiens depuis le 14 janvier, la Direction Générale de Tunisie Telecom souhaite apporter des précisions suites aux nombreuses accusations dont elle a fait l’objet ces dernières semaines.
En préambule, il est important de souligner que Tunisie Telecom, est une entreprise publique dont la privatisation partielle de 35 % de son capital acquis par le partenaire stratégique TeCom DIG de Dubai a drainé un record d’apport d’investissement étranger en Tunisie de plus de 3 000 Millions de Dinars en Juillet 2006.
Contrats de travail exceptionnels :
•Pour faire face à un environnement concurrentiel de plus en plus difficile, face à la non flexibilité du statut en vigueur pour pouvoir attirer des compétences tunisiennes aux conditions de marché de l’emploi Tunisie Telecom a été contrainte de recourir à des contrats CDD 3 ans et ceci dans l’attente de trouver une solution définitive au sujet du statut du personnel.
•Les cadres contractuels ont été sélectionnés exclusivement parmi les compétences tunisiennes, en Tunisie ou à l’étranger pour répondre à des objectifs de renforcement de fonctions clés spécifiques, principalement : marketing, commercial, systèmes d’information et finances. Ces compétences -débauchées d’entreprises nationales et internationales- ont été intégrées dans le respect strict des règles de gouvernance de la Société : le recrutement de l'ensemble de ces cadres s’est fait selon un processus d’évaluation au sein du comité d’intégration de l’entreprise et de validation définitive par le Conseil d'Administration. Les salaires alloués ont fait l’objet d’une étude de benchmark réalisée par un cabinet international spécialisé en ressources humaines ; les niveaux des salaires retenus sont en ligne avec ceux pratiqués par la concurrence et par le marché tunisien pour les cas d’espèce. Et contrairement à ce qui s’est dit dans certains média, la moyenne de ces salaires des contractuels est autour de 3500 DT net/mois, et ils représentent moins de 3% de la masse salariale de l’entreprise, soit très loin des 37 millions de dinars et des 30% dont parlent certaines sources.
Performances de l’entreprise :
•Entre 2006 et 2010, le Chiffre d’Affaires a progressé de plus de 20%. Tunisie Telecom a affiché la meilleure performance de toute son histoire en termes de CA et de contribution aux caisses de l’Etat (plus de 600 MD de contribution : TVA, dividendes, impôt, autres taxes..).
•Entre 2006 et 2010, le salaire moyen a progressé de 63%. Cette progression n’était que de 33% entre 2002 et 2006.
•A partir de 2007, Tunisie Telecom a réussi à freiner l’érosion de la part de marché mobile, qui a connu une chute importante entre 2003 et 2006.
•La qualité de service est devenue une préoccupation première au cœur de la stratégie de l’entreprise avec :
?Une amélioration de la qualité du réseau mobile: le taux de coupure des appels est passé de 16% en 2007 à moins de 1% en 2010.
?Une réduction des délais de mise en service des lignes fixes : le taux de raccordement des nouvelles lignes fixes en moins de 3 jours est passé de 42% en 2007 à 86% en 2010.
?Un taux de relève des dérangements des lignes fixes en moins de 48 heures est passé de 70% en 2007 à 87% en 2010.
?Une augmentation du débit internet : le débit internet a été multiplié par 8 pour un même prix, entre 2007 et 2010.
Ces résultats sont le fruit d’une stratégie orientée client et valeur et d’une adhésion et une mobilisation exemplaires de tous les employés de Tunisie Telecom en régions et en central.
Dossiers douteux
•Conformément aux décisions du gouvernement et aux revendications du peuple tunisien, Tunisie Telecom se met à la disposition des autorités compétentes et s’engage à collaborer pleinement et à mettre la lumière sur tout dossier, objet de demande d’investigation et de prendre toutes les dispositions administratives et légales nécessaires pour le traiter.
Il est à noter que Tunisie Telecom a lancé, sans attendre, des investigations préliminaires en interne. L’un des premiers résultats est l’arrêt d’une manière unilatérale d’un des contrats qui date de 2004 jugé non favorable aux intérêts de Tunisie Telecom, d’autres dossiers sont en cours d’investigation et de traitement.
Pour conclure, Tunisie Telecom réitère son attachement à la liberté d’expression et félicite les médias pour les acquis démocratiques et leurs nouvelles missions à développer avec beaucoup de responsabilité en s’assurant au mieux de la source et de l’exactitude des informations afin de ne pas induire en erreur les différents partenaires de Tunisie Telecom et l’opinion publique.
 
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J'aime le Temps- intégrisme
Publié le 26/03/2011 à 15:59 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article mort femmes dieu carte texte mode lecture islam   
 
  Commentaire sur l’article «Thérapie contre l’intégrisme musulman» Par Hédi Smida CHAIEB - Ce commentaire, je l’adresse à l’intention du Docteur Dhaoui Hechmi sur son article cité ci-dessus. En commençant la lecture de votre article, on est d’emblée frappé par un style imprégné  de haine et de mépris à l’égard de Monsieur Rached Gannouchi. Votre tout premier paragraphe mentionne ce qui suit : « Il ne faut surtout pas oublier que Rached Gannouchi (sic) a donné carte blanche à Ben Ali juste après le 7 novembre 1987 en déclarant au journal Le Temps : [ je crois en Dieu et en Ben Ali ]. Il vient de refaire la même bêtise en acclamant le sanguinaire Maamer El Kadhafi »
  En ce qui concerne cette prétendue carte blanche donnée à Ben Ali après le 7 novembre 1987, était-il le seul à avoir adopté une position de soutien et même d’allégeance  à l’égard de Ben Ali pendant les tous premiers mois de sa présidence ? N’avions-nous pas tous crus - un moment -  en un possible changement après que Bourguiba, sénescent et  très peu lucide, n’était devenu que l’ombre de lui-même ? N’étions-nous pas  majoritairement abusés par Ben Ali, et ne nous a-t-il pas  bien fallu quelques longs mois pour nous apercevoir de la supercherie ?   Quant à la phrase attribuée à M. Rached Gannouchi [ je crois en Dieu et en Ben Ali ], je ne le crois pas capable de dire une absurdité pareille, lui qui continue à ce jour à assumer des responsabilités de haut rang dans le monde arabo-musulman ( forums, conférences, colloques, etc. ). La déclaration que vous lui attribuez  l’aurait indubitablement discrédité auprès de tous, ce qui n’a jamais été le cas. Je pense tout simplement que ses propos ont été déformés de façon malsaine et malintentionnée. Quant à son « acclamation » de Kadhafi, je vous laisse la responsabilité de vos propos. Je n’ai pas eu personnellement l’occasion de lire ou d’entendre une telle allégation. Je reviens à votre article pour vous dire que je ne comprends pas comment quelqu’un qui présente votre profil (docteur en médecine, de surcroît psychiatre-psychanalyste), puisse se laisser guider par une pulsion d’animosité aussi féroce et une haine aussi marquée, pas seulement à l’égard de M. Gannouchi (libre à vous de ne pas apprécier la personne, si elle ne vous revient pas) mais aussi et surtout à l’égard de tous les islamistes. En effet, vous écriviez dans votre article, avec beaucoup de suffisance, comme si vous déteniez seul toute la vérité, ce qui suit : « Je pense profondément qu’il n’existe pas d’islamisme modéré, et si parfois il apparaît ainsi, c’est uniquement par le double langage. Ils ne cessent d’amplifier les mérites de leurs prédécesseurs dans une régression identificatoire et idéalisante de leurs ancêtres, à leur mode d’être. Cela les prédispose à désirer la mort et à devenir autant de dangereuses bombes humaines ambulantes ».   Au passage, je me permets de vous faire remarquer que le mot souligné «  idéalisante » ne peut pas se mettre au féminin et  prendre la forme d’un adjectif, sauf peut-être dans un langage psychanalytique, qui permettrait apparemment toutes les distorsions. Je reviens à votre « pensée profonde ». En affirmant  avec tant de conviction qu’il n’y a pas d’islamisme modéré, ne seriez- vous pas en train de prôner - sans l’avouer -  le bannissement de l’Islam de notre pays ? Si un islamisme radical, pur et dur ne vous conviendrait pas et vous auriez raison, sans aucun doute, qu’est-ce que vous proposeriez à la place, sinon un Islam modéré portant les vraies valeurs de la tolérance, de la paix et de l’amour ? Si vous n’êtes pas croyant, c’est votre affaire, et personne ne peut vous le reprocher. Mais ne serait-il pas logique que de votre côté vous accepteriez qu’on puisse ne pas être d’accord avec vous et qu’on puisse épouser une doctrine qui ne soit pas forcément avec la vôtre ? N’êtes-vous pas enclin - ainsi - à rejeter l’autre et à ne pas accepter la différence ? D’autre part, vous avez évoqué - à votre manière - l’histoire des Musulmans et des salafistes, avec pour objectif de démontrer que Monsieur Rached Gannouchi « est le produit de plusieurs échecs, depuis les salafistes auxquels il se réfère ». Pour y parvenir, vous avez osé, sans aucune retenue vis-à-vis de nos icônes, mettre en doute la sincérité du premier calife Abou Bakr qui aurait désigné à sa mort Omar Ibn El Khattab comme son successeur, rien que parce qu’il lui avait fait allégeance comme premier calife, à la mort du Prophète, paix sur son âme. Les historiens spécialistes des questions de l’Islam,  musulmans ou non musulmans, vous diront unanimement que l’acte d’allégeance d’Omar pour Abou Bakr, dans ces conditions historiques particulières, a empêché une guerre fratricide qui aurait eu des conséquences désastreuses pour cette religion naissante et qui aurait manifestement abouti à l’arrêt net de son expansion. Quant à Abou Bakr, sa sagesse et sa connaissance des hommes ont été les seuls déterminants pour le guider dans le choix de son successeur. En désignant Omar pour cette lourde responsabilité, l’histoire lui a donné raison. En effet, rares - voire inexistants -  sont les chefs d’Etat, à travers l’histoire de l’humanité,  qui peuvent prétendre égaler les mérites, la lucidité, la clairvoyance et la justice d’Omar. Vous vous êtes ensuite hasardé à parler très mal d’un volet très important dans l’histoire de l’Islam, et qui vous échappe complètement,  à savoir la succession d’Omar au poste de calife. Cher Docteur, vous auriez mieux fait de vous abstenir de traiter un tel sujet, pour éviter de sombrer dans le ridicule. Voilà ce que vous écriviez dans votre article : « …puis Omar a laissé en place un soit-disant conseil de six personnes (majless choura) dont quatre étaient acquis à Othman Ibnou Affen contre l’Imam Ali, alors que le Prophète voulait que le pouvoir se fasse dans la concertation entre les Musulmans ». Je vous rappelle que les six membres proposés par Omar étaient les suivants :  Othman Ibnou Affen, Ali Ibnou Abi Taleb, Taha Zoubeir, Abderrahman Ibnou Souf et Saâd Ibnou Abi Waqqas Quels sont les quatre qui seraient, d’après vous, acquis à Othman ? Tous les six étaient hautement appréciés par le Prophète et ils étaient tous assurés de leur entrée au paradis. Auraient-ils pu prétendre à une telle haute distinction s’ils n’étaient pas irréprochables à tout point de vue ? Et comment l’un d’entre eux  pouvait-il être acquis à quelqu’un d’autre que lui-même,  puisqu’ils étaient tous, à part Abderrahman Ibnou Aouf, également prétendants au poste de calife. Il est connu que Abderrahman Ibnou Aouf s’était retiré de son plein gré pour se consacrer à une mission d’arbitrage entre les cinq autres prétendants, ce qui fut fait. Même les chiites ne se reconnaissent pas dans vos allégations, car pour la plupart d’entre eux le Prophète aurait expressément désigné l’Imam Ali comme premier calife, ce que les sunnites ont toujours récusé, évidemment. Par ailleurs, convaincu que vous êtes du fait qu’il n’y a pas d’islamisme modéré, et rejetant par conséquent en bloc tout ce qui a trait à l’Islam, vous sombrez dans la contradiction en étayant votre argumentation de cinq versets du coran pour démontrer que M. Rached Gannouchi « a dénaturé l’esprit de l’Islam, dont la règle de la vie sociale est la paix dans le respect des choix religieux ». Décidément vous ne reculez devant rien pour tirer sur M. Gannouchi à boulets rouges. D’autre part, dans votre texte vous faites l’étalage de vos connaissances en matière de psychanalyse et de psychiatrie à tort et à travers pour des fins calomnieuses et diffamatoires sur les islamistes. En voici quelques exemples : « Fixation anale, phobie des femmes, sentiment de culpabilité religieuse, le refus de l’altérité, délire paranoïaque, le thème de la persécution se forme à partir d’une homosexualité refoulée, la zoophilie (pour éviter plus simple : « bestialité ») ». Et j’en passe. Docteur, cela ne vous honore pas. On ne badine pas avec la foi. Vous ne pouvez pas mettre tout le monde dans le même sac. Certes, il y a des intégristes très intransigeants que je désapprouve, tout comme vous. Mais, à mon humble avis les Musulmans, de par les nobles valeurs véhiculées par l’Islam et dans lesquelles ils croient, sont majoritairement très modérés et ne pratiquent pas le double langage, comme vous l’affirmez dans votre texte. Cela dit, je vous précise que je ne n’ai pas eu encore l’honneur de faire la connaissance de  M. Rached Gannouchi, mais je ne m’en priverais pas si l’occasion se présentait. Aussi, je n’ai pour le moment aucune idée sur les orientations actuelles et futures du parti Ennahdha, donc aucune sympathie particulière pour  l’instant. Ma réaction à votre article est simplement suscitée par le malaise et le désagrément  que j’ai ressenti en le lisant.
 

Le Temps- centrale nucléaire

Publié le 26/03/2011 à 15:51 par observatoire-medias-tunisiens Tags : chez article texte papier
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      Tunisie – Médias: «C’est criminel!»    
  • Cet article publié A LA UNE du quotidien Le Temps dans sa livraison du vendredi 25 février 2011 sous le titre «C’est criminel», a fait un joli tollé dans le milieu de la finance et plus particulièrement chez la BNA qui était directement visée par ce papier qui reprenait les commentaires d’un lecteur du journal.

    Le texte construit autour de ces commentaires, d’un lecteur présenté comme étant un analyste financier, estimait que les engagements de la BNA vis-à-vis du clan Ben Ali-Trabelsi va mener la banque vers le crash, en «s’amusant» à rapporter le montant des engagements au capital social (qu’il confond avec capitaux propres), en faisant des rapprochements «détonants» et en posant des questions plutôt «bizarres» pour un «spécialiste de la finance».

    La réaction de la BNA n’a pas tardé, la direction de la communication a fait circulé, le jour même, un texte intitulé «une analyse trompeuse de la situation de la BNA: propagande mensongère véhiculée par Le Temps».

    Dans ce “Droit de réponse“, publié le lendemain par le quotidien Le Temps, la BNA répond à un certain nombre d’affirmations de ce texte:
    - «La BNA est la plus engagée»: Faux répond la BNA, elle est devancée par deux banques de la place,
    - «30% du capital de la BNA, soit 54%, constitue des pertes sèches pour la Banque»: Faux répond la BNA, la totalité des créances classées sont de 38,7 MDT, soit 0,6% du total des engagements.

    La BNA poursuit en relevant que «notre ami l’expert banquier» invente des normes, ratios et règles relevant de la pure ignorance du monde de la finance et de la banque».

    Dans son édition du samedi 26 février 2011, en même temps que la publication du “Droit de réponse de la BNA“, Le Temps se rattrape en publiant les textes d’un analyste financier et d’un banquier.
    Le premier –Mohamed Sraieb- estime que «l’ensemble des analystes financiers et professionnels du secteur bancaire tunisiens a eu la désagréable surprise de lire le nombre de contre-vérités annoncées dans l’article relatif à l’engagement des banques avec les familles du président déchu, article pompeusement intitulé “C’est criminel“».

    Bilel Jouini, tout en se disant confiant dans les autorités du secteur pour apporter toute la lumière sur les pratiques antérieures et prendre les décisions qui s’imposent, appelle à la vérification des informations publiées afin d’éviter de tomber dans des pièges du type de l’article publié.

    T. Hamza

Elyes Jouini- Nawat

Publié le 26/03/2011 à 15:49 par observatoire-medias-tunisiens
Droit de réponse de M. Elyès Jouini : “des propos purement diffamatoires”
Elyès Jouini | Mar 01, 2011 | 124 comments

Elyes Jouini droit de réponse



NDLR : Suite à l’article de M. Nejib Khalil mettant en cause M. Elyès Jouini, nous avons reçu la présente réponse de ce dernier :

 

Je m’étonne que votre site fasse écho à des propos purement diffamatoires. Comment qualifier autrement des propos anonymes sur le délit d’initié (qui est effectivement une chose très grave) mis en parallèle avec des éléments de bio me concernant totalement déformés et erronés.
1. Je n’ai jamais détenu d’actions de la Star (ce qui de facto éteint toute présomption de délit d’initié). Ce n’est cependant pas le seul élément erroné ;
2. L’étude réalisée sur le secteur des assurances remonte à 2000, soit plusieurs années avant l’entrée de Groupama dans la Star ;
3. Je n’ai jamais conseillé Groupama ni sur la Star ni sur quoi que ce soit d’autre. J’étais coordonnateur, en tant qu’universitaire, d’une chaire de la Fondation du Risque, Fondation bénéficiant à son tour du mécénat de Groupama (de même qu’ils financent le bateau de Franck Cammas ou encore le cinéma via la Fondation Groupama-Gan).
Je trouve que les méthodes du journaliste signataire (s’il existe) sont déplorables et je me serais attendu à plus de clairvoyance de la part de votre rédaction.
Elyes Jouini, 1er mars 2011

Réalités- militaires

Publié le 26/03/2011 à 15:42 par observatoire-medias-tunisiens Tags : papier
Limogeage de directeurs de lycées: A Gabès, trois postes de proviseurs à pourvoir(Le Temps (Tn) 16/03/2011)

Nous avons appris de source syndicale que les enseignants du lycée de Carthage Byrsa ont décidé lundi dernier de désigner un proviseur intérimaire à la tête de leur établissement en remplacement de l’ancienne directrice.

Une délégation formée de membres du syndicat général de l’enseignement secondaire s’est réunie avant-hier avec les professeurs lesquels se sont entendus sur la désignation de l’un de leurs collègues comme directeur provisoire du lycée, et ce en attendant la décision ministérielle à ce sujet.

En effet, le syndicat a déjà informé le ministère de l’Education de la mesure provisoire prise au lycée de Carthage Byrsa et espère que l’Administration pourvoira officiellement à la vacance du poste le plus vite possible.

En ce qui concerne la directrice remplacée, qui s’est dit lésée par l’article que nous avons publié vendredi dernier sur la tension provoquée, au sein d’une majorité d’enseignants et de parents d’élèves, par son maintien, elle a souhaité rencontrer l’auteur du
papier. Mais leur rendez-vous fut annulé à la dernière minute. Il reste toujours à cette dame la possibilité d’user de son inaliénable droit de réponse.

Remplacements urgents

Au sujet du limogeage des directeurs d’établissements scolaires, nous avons appris également qu’à Gabès ville, trois postes de proviseurs sont actuellement à pourvoir après le « remerciement » des directeurs initiaux. Le syndicat régional de l’enseignement secondaire en a informé les autorités compétentes qui ne devraient pas tarder à proposer au ministre de l’Education quelques noms pour occuper les postes vacants. Toujours à Gabès, et en ce qui concerne le Collège des Non-voyants, le syndicat propose d’en confier la direction à l’actuel directeur de l’école primaire voisine, accueillant également les non-voyants.

Quant à l’ancienne proviseure du Collège, qui est nous dit-on en congé de maladie, on ne lui reproche guère de malversations. Au contraire, cette directrice aurait l’année dernière remis à la Direction régionale dont elle relève la somme de 20.000 dinars à titre de ristourne (part du budget non dépensée).

Cependant, certains de ses collègues lui reprochent sa relative incompétence dans la gestion administrative du Collège et ses mauvais rapports avec les élèves. Cela reste bien évidemment à confirmer, même si pour le moment, les dés sont déjà jetés en ce qui concerne le départ de cette directrice.

limogeage de directeurs de lycées

Publié le 26/03/2011 à 15:39 par observatoire-medias-tunisiens Tags : papier
Limogeage de directeurs de lycées: A Gabès, trois postes de proviseurs à pourvoir(Le Temps (Tn) 16/03/2011)

Nous avons appris de source syndicale que les enseignants du lycée de Carthage Byrsa ont décidé lundi dernier de désigner un proviseur intérimaire à la tête de leur établissement en remplacement de l’ancienne directrice.

Une délégation formée de membres du syndicat général de l’enseignement secondaire s’est réunie avant-hier avec les professeurs lesquels se sont entendus sur la désignation de l’un de leurs collègues comme directeur provisoire du lycée, et ce en attendant la décision ministérielle à ce sujet.

En effet, le syndicat a déjà informé le ministère de l’Education de la mesure provisoire prise au lycée de Carthage Byrsa et espère que l’Administration pourvoira officiellement à la vacance du poste le plus vite possible.

En ce qui concerne la directrice remplacée, qui s’est dit lésée par l’article que nous avons publié vendredi dernier sur la tension provoquée, au sein d’une majorité d’enseignants et de parents d’élèves, par son maintien, elle a souhaité rencontrer l’auteur du
papier. Mais leur rendez-vous fut annulé à la dernière minute. Il reste toujours à cette dame la possibilité d’user de son inaliénable droit de réponse.

Remplacements urgents

Au sujet du limogeage des directeurs d’établissements scolaires, nous avons appris également qu’à Gabès ville, trois postes de proviseurs sont actuellement à pourvoir après le « remerciement » des directeurs initiaux. Le syndicat régional de l’enseignement secondaire en a informé les autorités compétentes qui ne devraient pas tarder à proposer au ministre de l’Education quelques noms pour occuper les postes vacants. Toujours à Gabès, et en ce qui concerne le Collège des Non-voyants, le syndicat propose d’en confier la direction à l’actuel directeur de l’école primaire voisine, accueillant également les non-voyants.

Quant à l’ancienne proviseure du Collège, qui est nous dit-on en congé de maladie, on ne lui reproche guère de malversations. Au contraire, cette directrice aurait l’année dernière remis à la Direction régionale dont elle relève la somme de 20.000 dinars à titre de ristourne (part du budget non dépensée).

Cependant, certains de ses collègues lui reprochent sa relative incompétence dans la gestion administrative du Collège et ses mauvais rapports avec les élèves. Cela reste bien évidemment à confirmer, même si pour le moment, les dés sont déjà jetés en ce qui concerne le départ de cette directrice.

bienvu-stb

Publié le 26/03/2011 à 15:35 par observatoire-medias-tunisiens Tags : bonne article création patrimoine signature
entreprises
BIENVU répond à la Société Tunisienne de Banque
08/03/2011
BIENVU répond à la Société Tunisienne de Banque

Suite au communiqué de la Société Tunisienne de Banque paru au journal La Presse du 3 mars 2011, nous avons décidé d’exercer notre droit de réponse, dont la teneur est :
 
Bienvu est une Régie publicitaire créée depuis 1999, dont l’objet est initialement l’affichage publicitaire. Après plusieurs années d’activité et après avoir réussi à consolider sa position sur le marché local, BIENVU a racheté l’hôtel « SAVANA » (actuellement dénommé The Russelior ») et a entrepris des travaux de rénovation de grande envergure.
 
Il convient de préciser, à ce titre, que la Société BIENVU est la seule société certifiée ISO 9001 dans le monde arabe dans le secteur de l’affichage. Ceci lui a permis de conclure des projets de partenariat avec des leaders mondiaux.
 
Lors de son fonctionnement, BIENVU a bénéficié, à l’instar de toute autre entreprise tunisienne, de crédits bancaires dans des conditions financières normales et équivalentes à celles en vigueur sur le marché. Ces crédits ont été en outre couverts par des garanties réelles et des cautions personnelles et solidaires.   
 
Ces crédits ont servi particulièrement à racheter l’hôtel SAVANA avec la totalité de son passif (et notamment les crédits consentis à la société initialement propriétaire de l’hôtel) et à entreprendre des travaux de rénovation pour en faire le premier hôtel Palace en Tunisie, ayant utilisé les dernières normes écologiques internationales, ce qui lui a valu une distinction nationale et internationale (aide du PNUD).
 
Il convient de noter que BIENVU a honoré ses engagements financiers (ainsi qu’une partie des crédits consentis société cédante de l’hôtel) à bonne date et a même procédé à des règlements par anticipation d’une bonne partie des crédits.
 
Toutefois, nous avons été surpris par le montant de la créance annoncée à savoir 103 millions de dinars.
 
Nous tenons à préciser que ce montant repose sur un double emploi inhérent à un seul marché, dont le montant s’élève à 28 Millions dinars.    
En effet, nous avons obtenu de la banque une caution pour garantir la bonne exécution d’un marché conclu avec l’ONTT, matérialisé par des traites venant à échéance à des dates bien déterminées. Les traites relatives à ce même marché ont fait l’objet d’une opération d’escompte auprès de la même banque. Autrement dit, le montant de ce marché apparaît en tant que caution bancaire et en même temps en tant qu’escompte commerciale.
 
D’ailleurs, ce marché a fait l’objet d’une polémique orchestrée par certains médias cherchant à nuire à l’image de marque de la société pour des raisons bien connues et visibles !!! 
 
La signature d’une Convention d’Affichage avec l’ONTT en 2009 (et non pas à la création de la société) est intervenue à l’issue de la conclusion d’un contrat de partenariat avec le leader mondial de l’affichage, ce qui nous a permis de réserver des emplacements dans les plus grandes villes européennes en exécution d’un plan média arrêté et approuvé par l’ONTT.  
 
En considération de ce qui précède, les engagements à l’égard des institutions financières s’élèvent à 78 millions de dinars. D’ailleurs, le communiqué de la Banque l’a bien confirmé en précisant que « l’engagement net sur cette relation est de 78 millions assortis d’une hypothèque de premier rang sur l’hôtel The Russelior ».
 
La valeur du patrimoine de la société dépasse largement le montant des engagements. Une présentation sommaire du patrimoine en sera la meilleure illustration :
 
BIENVU est composé de :
1- Une Régie Publicitaire dotée de 350 panneaux, 26 unipoles, 10 écrans numériques de marque Daktroniks ainsi que plusieurs contrats et marchés conclus avec les plus grandes firmes tunisiennes et étrangères.  Cette société a été évaluée en 2008 par un des big four à une valeur avoisinant les 40 millions de dinars.
2- Un hôtel Palace 5 étoiles le seul admis au réseau Prefered en Tunisie avec un centre Spa lié à une chaîne internationale, dont la valeur totale dépasse le montant des engagements reproduits par la Banque. Cet hôtel étant évalué à 110 millions de dinars.
3- Un siège social composé de deux appartements sis à Tunis, d’une valeur de cinq cent mille dinars.
4- Un terrain sis à La Charguia d’une valeur d’un Million de dinars.
 
Il appert clairement de cette présentation que la valeur du patrimoine de la société (151 millions DT) est largement supérieure à celle des engagements bancaires (78 millions DT).
 
Il convient de préciser en définitive que les garanties réelles consenties à la Banque ne se limitent pas à une hypothèque de 1er rang sur l’hôtel The Russelior, mais concernent également le fonds de commerce de BIENVU Régie Publicitaire avec le siège social y afférent ainsi que le fonds de commerce où est exploité l’hôtel Russelior et le Spa.
article.php?article=6826" target="_blank">Lire la suite de l'article sur tunisiait.com

ennakl- business news

Publié le 26/03/2011 à 15:30 par observatoire-medias-tunisiens Tags : 2010 news maroc patrimoine
Dernières news
Ennakl répond aux lecteurs de Business News

  • Suite au flux de commentaires de nos lecteurs reçus suite à la publication de l’article « », le concessionnaire automobile nous a envoyé ce droit de réponse destiné à donner un meilleur éclairage à certains auteurs de ces commentaires.
    Nous publions le droit de réponse tel quel
    :

    Pour répondre aux commentaires des internautes suite à l’article paru sur Business News le 31 janvier 2011, « Ennakl a perdu 1,7 MDT lors des événements du 14 Janvier », nous tenons à préciser que seules les voitures des marques VOLKSWAGEN, VOLKSWAGEN UTILITAIRES, AUDI, PORSCHE et SEAT sont importées et commercialisées par ENNAKL AUTOMOBILES.
    Par ailleurs, étant donné que la Société est cotée sur la bourse de Tunis et de Casablanca, ENNAKL AUTOMOBILES a un devoir de transparence vis-à-vis de ses actionnaires. Les états financiers sont audités et certifiés par deux commissaires aux comptes et lors de l’introduction en bourse ont été contrôlés par le Conseil du Marché Financier (CMF) à Tunis et le Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) au Maroc.
    Suite aux récents évènements, le CMF a désigné un expert comptable en tant que contrôleur ayant pour mission le contrôle continu de la gestion administrative et financière de la Société ainsi qu’un juge contrôleur. L’expert comptable contrôleur sera tenu de présenter un rapport écrit au Conseil du Marché Financier et au juge contrôleur chaque fois que de besoin et au moins une fois tous les trois mois. La gestion d’ENNAKL a toujours été transparente et le restera.

    Contrairement aux idées reçues, La société ENNAKL AUTOMOBILES n’a pas tous les marchés de l’Etat. En effet, La part des ventes aux administrations ou aux sociétés publiques représentent moins de 4% du des ventes annuelles d’ENNAKL AUTOMOBILES. Et ces ventes, sont faites sur appels d’offres dans le respect des cahiers des charges et des conditions d’attribution légales avec ouverture publique des offres financières en présence des soumissionnaires. Sachant, que les offres sont retenues sur le critère du moins disant.
    ENNAKL est une société qui existe depuis 1965. La renommée historique d’ENNAKL AUTOMOBILES qui fait partie du patrimoine économique tunisien est avant tout fondée sur la qualité de son management et sur la compétence des ses employés et la renommée des marques internationales qu’elle représente ainsi que sur l’amélioration constante de la qualité de ses services dans l’intérêt et pour la satisfaction de ses clients.

    Indépendamment des parts de l’actionnaire majoritaire dont le sort sera fixé par les autorités compétentes, aujourd’hui, les efforts de la Direction Générale d’ENNAKL AUTOMOBILES visent à maintenir les 640 emplois liés à la concession et à ses agents officiels et à préserver les acquis en matière d’exportation de composants automobiles liée au groupe Volkswagen AG, activité qui représente des milliers d’emplois dans le secteur des Industries Mécaniques et Electriques et qui a généré sur l’exercice 2010 plus de 271.851.646 DTU réalisés par 17 fournisseurs alors qu’ils n’étaient que trois jusqu’en 2006.

Réalités- le Moteur

Publié le 26/03/2011 à 15:27 par observatoire-medias-tunisiens


Le dossier publié la semaine dernière a provoqué trois réactions émanant des entreprises mises en cause. Nous les publions tels quels au nom de droit de réponse.
Précisions relatives à la privatisation de la société “Le Moteur”
Suite à l’article publié par Réalités en page 52 du N°1308 du 20 au 26/1/2011, il est notamment apporté les précisions suivantes :
La Privatisation de la Société Le Moteur S.A. faite suite à un appel d’offres initié par La Société Tunisienne de Banque détentrice avec ses filiales, de seulement 54% des actions de la Société Le Moteur S.A., sous l’égide du Secrétaire d’Etat à la Privatisation, en 1999 et dont l’issue est concrétisée en avril 2000, au profit de la Société IDM (Holding Financière «Investissement et Développement Mécanique») dont le capital et détenu exclusivement par le Groupe Mabrouk et ce, dans une totale transparence.
L’adjudication a été conclue pour un montant de vingt et un millions de Dinars Tunisiens (21 millions de DT) pour les 54% de la STB ce qui valorise globalement la société Le Moteur S.A. à trente neuf millions de dinars tunisiens (39 millions de DT) par un capital nominal de trois millions de dinars (3 M DT) .
1- Le règlement des 21millions de DT a été effectué par l’intermédiaire de la Société de Bourse de Tunisie séance du 03/05/2000.
2- Le règlement des 40% restant du capital, a été également effectué par la même voie de la Société de Bourse de Tunisie, par le biais d’une OPA (Offre Public d’Achat) qui s’était étalée sur environ deux années.

Réponse de l’ancien Conseil municipal de La Marsa
Comme suite à l’article intitulé «Affairisme couvert et soutenu par le pouvoir déchu : les grands dossiers de la corruption» (N°1308, du 20 au 26 janvier 2011, p52), nous avons l’honneur d’apporter les précisions suivantes quant à la dissolution du Conseil municipal de La Marsa dont nous avons été respectivement, président, premier vice-président, président de la Commission juridique et président de la commission technique:
1- Durant son premier mandat et son deuxième mandat inachevé, le Conseil municipal de la Marsa a fait preuve d’indépendance d’esprit et a toujours agi dans le respect de la légalité et le refus

tunivision- banque de l'habitat

Publié le 26/03/2011 à 15:23 par observatoire-medias-tunisiens Tags : 2010 article background
BANQUE DE L’HABITAT : Droit de réponse
Concernant l’article publié le 6 février

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Suite à l’article que nous avons publié en date du 6 février 2011 sous le titre : La BH s’attaque à Sakher El Materi pour récupérer 350 Milliards, nous avons reçu de la Direction Générale de ladite Banque un Droit de réponse que nous publions ci-dessous :
 
Droit de réponse de la Banque de l’Habitat
 
 
En réponse à l’article paru dans votre site « TUNIVISION », du dimanche 06 février 2011, la Banque de l’Habitat dément catégoriquement ce qui a été mentionné concernant l’attaque de la BH contre Sakher EL MATERI pour récupérer 350 Milliards. 
 
A ce sujet, la Banque de l’Habitat nie formellement avoir accordé des crédits au profit de Sakher EL MATERI.
 
La Banque précise aussi, que ni Saker ET MATERI en tant que personne physique, ni ses entreprises, n’ont contracté de crédits auprès de la BH.
 
A cet effet, la Banque de l’Habitat appelle les médias à s’assurer de la fiabilité de leurs sources et de l’exactitude des informations publiées surtout en cette nouvelle période caractérisée par l’instauration de la démocratie et la liberté d’expression, nécessitant de la part des différents médias plus de vigilance et de respect des règles de la déontologie de la profession.
 
En plus, la Banque de l’Habitat affirme que de tels propos non fondés peuvent nuire à la réputation et l’image de marque d’une institution qui a été depuis plus de 35 ans d’existence au service de tout Tunisien quelque soit sa catégorie socio professionnelle. 
 
 
Enfin, la BH réitère son entière disposition à coopérer avec  les médias pour leur communiquer une information sûre et crédible.         
 
Remarque de Tunivisions 
 
Suite à la publication de ce Droit de réponse de la Banque de l’Habitat nous aimerions préciser qu’effectivement, sur instructions de la Banque Centrale, la Banque de l’Habitat a déposé auprès du Tribunal de première instance de Tunis, le vendredi 4 février 2011, une demande de nomination de séquestres sur les sociétés appartenant à des membres du clan Ben Ali – Trabelsi et alliés.

la Presse- ministere de l'agriculture

Publié le 26/03/2011 à 15:18 par observatoire-medias-tunisiens Tags : 2010 gif chez article création éléments divers patrimoine
Actualités : Nation
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Droit de réponse
Suite à la parution dans le journal La Presse du 19 février 2011 pages 1 et 7 de l’article intitulé «Prédation de la famille sur les terres domaniales,  main basse sur l’agriculture», le ministère de l’Agriculture et de l’Environnement apporte les précisions suivantes :
1 — Les  terres domaniales qui couvrent actuellement 500.000?ha proviennent entre autres de  terres transférées à l’Etat en application de la loi du 12 mai 1964.
A partir des  années 80 et lors de l’élaboration du Ve Plan, une nouvelle orientation recommandait d’ériger par voie de location certaines unités coopératives de production agricole (Ucpa) en  sociétés de mise en  valeur et de développement agricole (Smvda). Ce type d’entreprises a été  institué  par la loi 82-67 du 6 août 1982 portant encouragement aux investissements dans  les secteurs de l’agriculture et de  la  pêche.
2 —?En 1990, une consultation nationale a été  organisée  dans le but d’étudier le devenir des terres domaniales. Cette consultation a permis d’établir un certain nombre de principes pour une meilleure exploitation de ces terres. Un commission de restructuration des terres domaniales a ainsi été créée. Elle a pour mission de définir les scénarios qui permettent une meilleure exploitation des  terres domaniales par voie de location au  profit de 3 types de promoteurs, à savoir:
— Les Smvda
— Les  techniciens diplômés des écoles supérieures d’agriculture
— Les jeunes agriculteurs (fils d’agriculteurs, coopérateurs…).
Ces choix ont pour but essentiellement d’encourager l’investissement privé sur les terres domaniales pour répondre aux objectifs nationaux en matière de produits stratégiques (céréales, lait et viandes). L’exploitation de  ces terres se  fait conformément à un cahier des charges qui définit préalablement le  type de projet à réaliser sur chaque ferme  dont le dimensionnement prend en  compte des entités économiquement viables obéissant à des critères économiques et à des échelles d’investissement selon la vocation de la ferme, son  appartenance aux différents étages bioclimatiques ainsi qu’aux potentialités hydriques et édaphiques de chaque ferme.
Ce  cahier des charges est périodiquement actualisé en réponse à toute évolution des objectifs. Toutefois, il faut souligner que le patrimoine foncier reste propriété de l’Etat.
Ainsi la stratégie de restructuration des terres domaniales a permis la création de : 340 Smvda dont 270 actuellement en  exercice (avant la révolution) exploitant 138.000 hectares soit 28% de la superficie totale des terres domaniales.
Les 270 Smvda en exercice jusqu’au 31-12-2010 s’élèvent à 345 millions de dinars financés à concurrence de 58% par des capitaux propres, 32% par des crédits bancaires et 10% par des primes d’encouragement aux investissements dans le secteur de l’agriculture et de la pêche prévues par le code d’incitation aux investissements (loi 94-120 du 27 décembre 1993) et les décrets d’application s’y rapportant.
Il y a lieu de signaler que depuis le début de la stratégie de restructuration des terres domaniales :
— 74 décisions de déchéance ont été signées par les ministres successifs de l’Agriculture et des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, les fermes ayant été reprises par l’Etat  et certaines réaffectées selon les procédures en vigueur.
— 32 préavis ont été adressés à des Smvda qui ont accusé des retards dans la réalisation de leurs projets.
En ce qui concerne les fermes domaniales louées à la famille Ben Ali et Trabelsi et à quelques proches, il y a lieu de signaler que le nombre de ces Smvda s’élève à une vingtaine. Ce chiffre peut être révisé à la hausse vu que certaines fermes ont été louées à des prête-noms. Ces «promoteurs» n’ont commencé à s’intéresser au secteur agricole qu’à partir de 2.000. Pour la Société des fermes laitières (SFL) confiée à Sofiane Ben Ali, il y a lieu de préciser que celui-ci a acquis en 2004 des éléments d’actifs de la Smvda portant le même nom (SFL) et créée par le secteur bancaire en 1985, et ce, par le biais de la commission d’assainissement et de restructuration des entreprises publiques (Carep).

La reprise de ces fermes par l’Etat selon les procédures légales est en cours

Cela étant éclairci, nous tenons à apporter certaines précisions aux affirmations du rédacteur  de l’article objet de cette mise au point :
1- Les terres domaniales totalisent 500.000 hectares et non 600.000 hectares.
2- Si les familles mafieuses ont utilisé le pouvoir en place pour mettre la main sur certains domaines agricoles, la superficie totale qui leur a été louée s’élève seulement à environ 10.000 hectares, soit 2% de la superficie totale des terres   domaniales. Aussi et sans intention aucune de défendre ces privilégiés ou le pouvoir qui les a privilégiés, il n’y a pas lieu d’affirmer qu’ils ont fait main basse sur l’agriculture tunisienne.
3- Il est à noter que tous les domaines loués aux familles Ben Ali et alliées ont été récupérés même si certaines procédures judiciaires sont encore en cours.
4- Le fait d’affirmer que les familles en question ont fait main basse sur l’agriculture tunisienne encourage certaines personnes à perpétrer des actes de vandalisme, ce qui pourrait compromettre une partie de la production. D’ailleurs, plusieurs sociétés et lots de techniciens ont été la cible de plusieurs actes de vandalisme et de pillages entraînant des pertes considérables touchant les produits stratégiques (céréales, viande et lait) et qui risquent de compromettre davantage les produits agricoles en cette période de la saison. Faut-il rappeler qu’à l’échelle internationale le prix des produits stratégiques connaît des hausses vertigineuses et que les crises que connaissent certaines régions du globe pourraient aggraver la situation chez nous, et que ces actes de pillage portent directement atteinte aux biens de l’Etat.

Ndlr
La vérité dérange?! Mais nous estimons qu’il était temps qu’elle éclate au grand jour. Pour cela il faut du courage et un sens aigu de la responsabilité.
Le ministère de l’Agriculture a consacré les trois quarts de sa réponse pour nous fournir des éléments d’ordre juridique et un aperçu historique sur le processus qui a mené à l’état actuel de l’exploitation des terres domaniales et plusieurs UCP. Nous n’avons jamais traité de ce volet pour le remettre en question, pour que cela fasse l’objet d’une réponse.
Ce dont nous avons parlé c’était plutôt les pratiques dans l’octroi de ces terres à des personnes appartenant à la famille qui était au pouvoir et à des proches de cette famille.
Ces pratiques n’ont pas fait l’objet de la moindre mention de la part du ministère dans sa réponse.?Cela équivaut à une reconnaissance donc de ces pratiques.?Et de cela nous pouvons déduire que tous les textes juridiques qui réglementent la mise en bail de ces terres n’étaient que pour sauver les apparences sans plus. Cela dit et quant aux cahiers des charges, ils ne sont pas respectés dès l’entame de la procédure dans la mesure où souvent des dossiers qui remplissent les conditions requises sont rejetés et remplacés par des dossiers recommandés.  Personne ne peut prétendre le contraire.
Par ailleurs, dire que seulement 10.000 ha ont été loués aux membres de la famille qui était au pouvoir, nous paraît une manière assez maladroite de chercher à escamoter une réalité que tout le monde connaît,à savoir que les membres de cette famille usent de moyens les plus divers pour ne pas  être   identifiés.?Ils utilisent les prête-noms comme l’un de ces moyens, tout comme ils préfèrent figurer en tant qu’associés et non en tant que promoteurs.
En outre, nous avons parlé de notre article de la famille qui était au pouvoir et de ses proches aussi.?A titre d’exemple, dans le gouvernorat de Béja, trois promoteurs à eux seuls exploitent plus de 14.000 ha?! Qui sont ces promoteurs?? Le ministère de l’Agriculture pourra nous fournir la réponse sans doute.
Pour ce qui est de la superficie totale des terres appartenant à l’Etat, héritées de la colonisation, elle totalise plus de 550.000 ha et non 500.000 ha comme l’affirme le ministère.
Enfin, si les services du ministère de l’Agriculture se trouvent par hasard intéressés par de plus amples informations sur la question, nous sommes en mesure de leur fournir la liste exhaustive des fils de ministres ou de conseillers ayant profité de la manne ou encore ces hommes d’affaires connus  pour leurs rapports très étroits avec le président déchu et qui étaient les pourvoyeurs de fonds de ses campagnes électorales.

kamel ltaief- tunisie numériqque

Publié le 26/03/2011 à 15:14 par observatoire-medias-tunisiens
Tunisie numerique Droit de réponse de Kamel El Taïef à attounsia.com.tn
M. Kamel El Taïef, a contacté tunisienumerique au nom de son droit de réponse, que le journal attounsia.com.tn refuse de recevoir. Il tient à préciser que l’information contenue dans ce journal, samedi soir le 19 mars 2011 est fausse. En effet, Attounsia.com.tn a annoncé que le tribunal civil de première instance de Tunis avait commencé à [...]
Published : 2011-03-20 17:49:09 GMT
 

nawat- business news

Publié le 26/03/2011 à 15:13 par observatoire-medias-tunisiens Tags : merci image homme article carte texte news
Droit de réponse de Business News
Opinions Sur Rue | Mar 07, 2011 | 16 comments
Je vous remercie tout d’abord d’avoir publié mon droit de réponse dans des délais fortement acceptables. Une malencontreuse erreur s’est glissée dans mon article précédent m’obligeant à apporter une rectif dans le texte. J’ai confondu Attariq el Jadid et El Maoukif. C’est en effet Attariq el Jadid qui a publié une page entière sur l’affaire de l’ambassadeur. Merci de rectifier et d’excuser mon erreur.
Ci après le texte rectifié, Je vous remercie encore.
Suite à votre article relatif à l’ambassadeur M. Ahmed Ben Mustapha et Business News et son directeur Nizar Bahloul, j’aimerai apporter les précisions suivantes :
- Quand nous avons eu vent de cette affaire, nous avons enquêté et recueilli les PV de l’enquête judiciaire. Dans ces PV, nous avons lu les témoignages des salariés de l’ambassade qui disaient que leur ambassadeur, M. Ben Mustapha, garderait pour lui une partie de leur rémunération. Une autre salariée disait, dans ces PV, que l’épouse de l’ambassadeur lui aurait confisqué sa carte bancaire de retrait avec son passeport.
Autant de témoignages qui nous ont poussé à relater cette affaire sur nos colonnes en usant du conditionnel d’usage et en évitant d’écrire le nom de l’ambassadeur (nous avons utilisé les initiales et avions écrit un pays du Golfe et non les Emirats).
- C’est à la demande de M. Ahmed Ben Mustapha (qui nous l’a envoyé par huissier notaire) que nous avons mis son nom par la suite.
- On aurait pu croire qu’il s’agissait d’une manipulation politique, mais le journal Al Maoukif a consacré une page entière pour relater cette affaire en se basant sur les mêmes PV de justice que les nôtres visiblement et la publication de leur article a précédé la nôtre de quelques jours.
- Dire que Nizar Bahloul est un homme de main de Ab. Abdallah équivaudrait aussi à dire que le directeur d’Attariq el Jadid l’est également !
- Dans sa vie, Nizar Bahloul a croisé Abdelwaheb Abdallah trois ou quatre fois au cours de manifestations publiques (conférences, inauguration…). Que celui qui dit le contraire apporte une seule preuve ou un seul témoin intègre.
- Comme Business News l’a promis à ses lecteurs, elle a publié la suite qui est un non-lieu et c’est tant mieux.
- S’il y a quelqu’un qui a porté préjudice à M. Ahmed Ben Mustapha, ce sont les employés qui ont fait ces témoignages et le ministère des Affaires étrangères qui a déposé plainte ou encore les juges d’instruction qui ont traduit la plainte devant le tribunal et non Business News qui n’a fait que son devoir journalistique envers ses lecteurs.
- De plus, aussi bien l’article de Business News que l’article d’Attariq el Jadid n’a pas visé M. Ben Mustapha en tant que personne, mais a visé l’ambassadeur de Tunisie aux Emirats. Sous d’autres cieux, ce type d’affaires est relaté dans le téléjournal 20-Heures dès qu’il y a soupçon de malversation.

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